Clap Style: un jeune entrepreneur la dénonce pour abus de confiance

La PDG de Clap Style vient d’être dénoncée sur la toile par un jeune entrepreneur qui aurait travaillé avec elle. Ce dernier a raconté l’histoire et revendique plus de 07 millions de Fcfa à la styliste.

Le jeune Romaric Tene, PDG de l’entreprise « Manager Pub Agency Sarl » vient de dénoncer la styliste Dorice Somwa alias Clap Style, pour abus de confiance. Il a contacté la page Facebook le TGV de l’info pour raconter son histoire. Romaric et Clap Style ont convenu d’un accompagnement dans le but de réanimer l’entreprise de haute couture, car elle traversait une véritable crise qui la ruine. C’est ainsi que Romaric lui propose ses services qu’elle accepte et la collaboration commence. L’entreprise de communication de Romaric monte une stratégie efficace pour parfaire son image et la remettre sur le marché. Dorice fait de lui SON MANAGER POUR SA CARRIÈRE et le DIRECTEUR GÉNÉRAL de son entreprise CLAP STYLE EMPIRE.

Les deux nouveaux associés vont travailler via les réseaux sociaux à partir du 01er avril jusqu’à ce mois de juin. Ils vont même gagner deux contrats juteux qui doivent permettre à la styliste de se renflouer. Romaric explique avoir remis tout l’argent à la dame qui vit alors au Canada depuis le début de leur accord.

Mais le jeune communicateur constate après quelques semaines que sa nouvelle boss a signé un contrat avec l’ONG LA CROIX ROUGE à l’insu de ce dernier pour une valeur de 3 570 000 frs. Romaric est informé de ce contrat parce que les deux parties ne s’entendaient plus dans l’accord. Le gars est dépassé par le comportement de sa boss qui se sucre déjà en cachette grâce à son travail à lui et à la stratégie qu’il a mis en place via les réseaux sociaux. Il se fâche alors et décide de réclamer son dû car il n’aurait jamais rien perçu de clap style qui devait venir régler les factures à son retour au Cameroun en juillet 2022.

A ce jour, ce serait donc la somme de 7.238.000 Fcfa qu’il réclame. En attendant, il a arrêté toutes les activités qu’il avait engagé pour elle.