• Marlène Emvoutou réfute avoir été « chassée » par son bailleur

    Auteur : Marie Claude | 17 avril 2023 | 1 717 vues

C’est une vidéo qui met le feu aux poudres dans l’affaire Marlène Emvoutou. Son bailleur affirme l’avoir expulsé. Mais la personnalité publique nie complètement cette version.

Madame Afane Francine crie haut et fort sur la toile dans la vidéo qui circule qu’elle expulse Marlène Emvoutou pour non paiement du loyer. Elle clame qu’elle attend déjà 25 mois impayés. La bailleresse venue avec une escouade, casse la porte et intime l’ordre à Marlène de prendre toutes ses choses et de sortir de sa maison. Depuis l’extérieur, on peut voir plus tard les meubles posés à même le sol, transportés par les amis de la bailleresse.

La vidéo semble claire car dame Francine n’hésite pas a dire avec détails qu’elle est entrain d’expulser Marlène de sa location.

Mais Emvoutou fera une vidéo quelques heures plus tard pour crier au complot: « je suis actuellement à Nyamey et je ne suis pas au Cameroun. C’est une vidéo mise en scène pour salir mon nom. En fait c’est la dame qui me doit de l’argent. Elle a un contrat avec Monsieur Jolly et pas avec moi. Elle a débarqué avec des personnes qui disaient être des policiers, ils m’ont conduit manu militari dans cette demeure juste pour m’humilier« . Si on comprend bien sa version, il y a plusieurs jours, elle aurait été enlevé par son bailleur et ses gros bras pour être conduite dans cette maison qui était une location de son ex-mari, se faire filmer pour simuler cette expulsion. Une version pourtant qui reste floue pour le public qui n’y croit pas vraiment. Maintenant, madame Emvoutou explique que c’est plutôt cette fameuse bailleresse qui lui doit de l’argent, soit 2.400.000 FCFA pour la dédommager car la maison louée par son ex-mari n’avait pas d’assurance.

Des explications qui passent mal auprès de l’opinion publique qui ne comprends pas comment Marlène se trouve pourtant dans la vidéo et nie avoir un contrat avec Afane Francine. Qui est finalement en tord? Qui doit de l’argent à l’autre, Des questions qui demeurent. Mais le public a vite pris parti, demandant a Madame Emvoutou d’arrêter de vendre le rêve aux jeunes car elle n’a tout simplement, pas de maison dans son propre pays.

Marie Claude
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