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Le journaliste a ressorti d’anciens messages de Grégoire Owona qui supportait Samuel Eto’o en 2021. Et il ne comprends pas le silence d’aujourd’hui, alors que la crise dans le Football est au plus haut. Pour Remy Ngono, tous ont abandonné Eto’o. 

Les stars se lèvent de partout pour donner leur avis sur le clash actuel qui oppose la FECAFOOT au Ministère des Sports. Les avis sont tranchants.

Artistes, députés, footballeurs, écrivains et bien d’autres donnent leur avis. Trop c’est trop, tout l’environnement public est pollué par cette affaire du football national. Et les avis se laissent entendre.

Au Cameroun, on voit Lady Ponce, Tony Nobody, Maahlox, être des partisans de Samuel Eto’o, qui est pour eux un héros national. A cela se greffe des stars étrangères comme Adebayor ou Apoutchou National qui donnent tout leur soutien au président de la FECAFOOT.

D’un autre côté, il y a ceux pour qui le football prime au delà des conflits actuels. Moumi Ngamaleu, Nourane Foster ou encore Oyongo Bitolo souhaite qu’on se concentre sur les joueurs: « Restez dans les bureaux mais laissez les footballeurs jouez » a écrit ce dernier. Me Akere Muna de son côté trouve le spectacle actuel sordide! « Le football qui était autrefois le dernier bastion et la source de fierté du Cameroun, fait maintenant l’objet d’un spectacle sordide » a-t-il écrit.…

Ils se sont retrouvés jeudi pour une nouvelle séance de travail, qui s’est déroulée dans une ambiance conviviale, contrairement à celle de mardi dernier.

Plusieurs spéculations et scénarios avaient été prédits pour cette nouvelle rencontre entre le président de la Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o, et le sélectionneur des Lions indomptables, Marc Brys. Si beaucoup pensaient que Marc Brys n’occuperait plus le poste ou que sa suspension ne serait pas levée de sitôt, ils se trompaient.

En effet, les deux personnalités ont trouvé un terrain d’entente après l’imbroglio de mardi dernier où le ton était monté. Comme l’a précisé Samuel Eto’o lors de la conférence de presse, « le peuple camerounais est plus important que nous, et c’est le seul intérêt qui doit nous amener à travailler ensemble. Je serai à vos côtés. Je suis assez content d’avoir parlé avec le coach. Je voudrais vous remercier et m’excuser pour la dernière fois. Je sais que votre mission n’est pas facile, malgré votre expérience et vos qualités, mais sachez que vous aurez notre soutien ici pour rendre cette mission moins difficile, même si nous savons que le football n’est pas une science exacte… ». Il en a profité pour exhorter Marc Brys à l’indulgence, lui promettant tout son soutien.

Un sentiment partagé par l’entraîneur belge qui a rappelé que lui et le président de la Fécafoot avaient le même objectif : « Nous avons eu un très bon entretien. Le rendez-vous est pris maintenant. Nous avons besoin de toutes les ressources, de toute l’expérience ».

Il s’agit là d’un rebondissement majeur dans le feuilleton Fécafoot-Ministère des Sports qui a passionné le football camerounais pendant des semaines.

Tous les regards sont désormais tournés vers le match Cameroun-Cap Vert du 8 juin prochain au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé, dans le cadre des 3e et 4e journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

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Le sélectionneur des Lions, Marc Brys, a eu un tête-à-tête avec le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) au cours d’une séance de travail à la Fécafoot. Mais ils se sont séparés en queue de poisson. Voici le film de l’événement.

La séance de travail prévue ce jour entre le président de la Fécafoot, son staff et le nouveau sélectionneur des Lions, Marc Brys, ne s’est plus déroulée comme prévu.  Marc Brys est arrivé accompagné de tout son personnel nommé par le gouvernement, ainsi que du conseiller technique et de l’inspecteur général du ministère des Sports et de l’Education physique.

Dans un premier temps, Marc Brys a été le seul à être admis, les autres étant bloqués à l’extérieur du bâtiment du siège. Marc Brys a menacé de s’en aller si ceux qui l’accompagnaient, notamment Omam Biyick et Alioum Boukar, n’entraient pas. La fédération décide d’accéder à cette demande. Cyrille Tollo est admis à la fédération mais pas à la salle de travail. Il est plus tard expulsé après un échange houleux avec Samuel Eto’o. Et cela n’a pas été du goût de Marc Brys, qui a choisi de soutenir le ministère plutôt que la fédération. « Je suis ici depuis deux mois, toi t’étais où ? J’ai beaucoup de respect pour vous, mais à la fin c’est moi qui décide« , a déclaré Marc Brys à Samuel Eto’o avant de quitter la Fédération. Et Eto’o Fils de rétorquer : « Si tu passes cette porte, tu ne reviendras plus ». Le sélectionneur n’a pas eu l’air de s’inquiéter de cette menace. Il a préféré quitter son staff et suivre les fonctionnaires du ministère.…

Alors que des scandales surviennent dans diverses disciplines sportives, le public accuse le ministre des sports de ne s’occuper que du football.

Scandale dans le handball au Cameroun. Les lionnes indomptables de handball viennent d’être exclues du tournoi de qualification olympique de handball féminin à cause des visas. Un communiqué de la fédération de Handball explique que: « le Cameroun n’a pas respecté la documentation requise pour le visa pour se rendre en Hongrie« .  Le public est choqué par cette nouvelle et pointe un doigt accusateur sur le ministre des sports, Narcisse Mouelle Kombi.

Il venait tout juste d’installer le nouveau coach des Lions Indomptables. Un événement qui défraie la chronique depuis des jours, alors que tout le monde pense qu’il existe un gros bras de fer entre le ministre et le président de la FECAFOOT, Samuel Eto’o.

« Il est ministre du foot. C’est le ministre du handball que nous attendons encore », « Le cimetière de sport  Cameroun pays gouverné par les vieillards », « Il es ministre des sports mais il gère seulement le football  c’est là-bas qu’il y a l’argent », »Le Ministre du Football ! », « Quand c’est l’affaire concernant Etoo on veut montrer qu’on maîtrise tout « , « Mouelle et ses combis ont focalisé toutes leurs énergie sur le football » peut-on lire sur la toile. Le public s’attend à ce que le ministre agisse aussi pour les autres sports que le football.

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Le club du joueur Wilfried Nathan Doualla vient de produire un communiqué. Il ne reconnait pas le faux âge de leur joueur et attend une explication plus claire de la FECAFOOT.

Le récent rapport de la Fédération Camerounaise de Football chauffe encore sur la toile. Il incrimine ainsi le footballeur Wilfried Nathan Doualla et une soixantaine d’autres, de fraude sur l’âge.  Le cas de Wilfried Nathan est encore plus en vue car il a participé à la dernière Coupe d’Afrique des Nations. Mais Victoria United FC, le club de ce joueur, est sorti de son silence et ne reconnait pas le « kumba ».

« Deux de nos joueurs, à la personne de Wilfried Nathan Doualla et Nji Richmond, ont malheureusement été déclarés à avoir une double identification. Nous souhaitons attirer l’attention du grand public sur le fait que Wilfried Nathan Doualla et Nji Richmond n’ont pas de double identité comme le prétend la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT). Nous pensons qu’il pourrait s’agir d’une erreur de la FECAFOOT. De ce fait, un délai de justification a donné par la FECAFOOT question d’apporter des éclaircis sur les cas d’erreur » peut-on lire dans ce communiqué.

Le club demande aussi à  ses fans et supporters de rester calmes, car leurs joueurs sont innocents. Beaucoup restent dubitatifs sur cette sortie du club. L’âge de Wilfried Nathan et les différents reportages et preuves qui circulent sur la toile font bien penser que Victoria et son joueur sont en tord.…

Tsunami en ce moment dans le football camerounais, avec le limogeage de Rigobert Song. Mais le public reste accroché au ngambé.

Les multiples critiques sur sa gestion à la tête de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT) n’ont pas encore eu raison de lui. Samuel Eto’o continue son mandat à la tête de la fédé alors que Rigobert Song vient tout simplement d’être remercié. Beaucoup de détracteurs du ngambé s’attendaient aussi à son limogeage mais il n’en est rien.

Le public aussi est content que Samy continue son travail. Les commentaires sur la toile le démontrent. « Eto’o l’élu! l’incontournable! Mon combat », « Eto’o mon combat », « Mon préféré, laissez le tranquille », « Eto’o à vie! Même s’il travaillait différemment vous allez toujours le critiquer. Qu’il continue son travail on est avec lui » peut-on lire via certaines pages.…

L’annonce de la démission de Samuel Eto’o a fait le tour des réseaux sociaux. Bien que cela a été rejeté par ses collaborateurs, le public doute des intentions premières du président de la Fédé.

Une réunion du comité executif de la Fédération Camerounaise de Football a eu lieu le lundi 05 février 2024 au Hilton Hôtel de Yaoundé. Il était question pour eux de faire un débriefing de la participation des Lions Indomptables à la Coupe d’Afrique des Nations 2023. Durant cette rencontre, Samuel Eto’o présente sa démission à ses collègues et leur demande d’en faire autant. Mais les gars refusent et veulent continuer leur mandat.

Sur la toile, c’est l’étonnement mais aussi l’amusement. « Quand on veut démissioner on fait la lettre de démission on part, on ne demande pas la permission aux autres » écrit un internaute. « Moi-même je veux quitter internet. Retenez-moi sinon je ferme mes comptes » écrit un autre en signe de dérision. « Samy c’est interdit de démissioner. On ne pleure pas! Tu restes à ton poste mais si tu fais les erreurs on sera toujours là pour bavarder », « Ce n’est pas Eto’o qui doit partir. Après ce qu’on a vu en Côte d’Ivoire c’est Song le problème. Eto’o ne joue pas avec nos organes, reste-là« . « Démissioner? Façon on t’a vu engagé dans ton travail là Eto’o laisse« . Plusieurs commentaires dans ce sens semblent exprimer l’incompréhension des internautes, au vue de la technique de Samuel Eto’o.

Son staff ayant refusé sa demande de démission, le Ngambé reste et demeure président de la FECAFOOT.…

La toile chauffe avec les images du supporter des Lions Indomptables. Il était bloqué en Côte d’ivoire, sans argent pour revenir au Cameroun.