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Cette fin d’année 2021 pousse l’artiste Lydol a faire son bilan via ses réseaux sociaux. Voici son bilan professionnel de l’année 2021.

Qui dit fin d’année, dit bilan bien-sûr. Et en ce 1er décembre, Lydol a déjà dressé son bilan professionnel via ses réseaux sociaux. On peut dire que l’artiste a eu une année chargée. Entre contrats, featuring, single avec million de vues et campagne de sensibilisation, elle n’a vraiment pas chômé.

« Ce matin je m’arrête un peu histoire de faire un petit bilan entre l’accueil que vous avez réservé à Bango Bango feat Aveiro Djess qui compte plus d’un million de vues ? (Notre premier million), on a eu l’honneur de faire la Tracklist de singuila, Docteur Love et celle de Krys M, Surface ». Elle a aussi rappelé ses multiples collaborations: « Des collaborations avec de merveilleux artistes: Affaire d’amour feat Rinyu, Spirale Infernale feat Ful, Ndilem feat Claudel Noubissie, Good Time feat Magasco, Happy, Aveiro Djess, Sandrine Nnanga, Watto de souza, Rinyu. Et faire la première partie du concert de Charlotte Dipanda » a-t-elle précisé. Un beau parcours sur la scène musicale en 2021.

Mais ce n’est pas tout. L’artiste a réalisé encore plus: « On est désormais Brand Ambassador de Anna Cameroun. On a élaboré des campagnes publicitaires pour près d’une dizaine d’entreprises. On a fait grandir notre projet Plurielles Festival afin d’encourager les femmes et les jeunes filles à prendre la parole. On a tenu la 4ieme édition de notre Festival Slamup avec Ulrich Takam. Et des nominations aux Canal 2’Or, Balafon Music Awards, CIMFES » a-t-elle conclu.

Elle n’a peut être même pas tout cité. Ses concerts, showcases et bien d’autres restent pléthores. Pour bien clôturer l’année, elle réalise deux concerts lives de slam à Douala et Yaoundé pour ce mois de décembre. Beau bilan en tout cas pour l’artiste. …

L’ancienne journaliste d’Equinoxe Télévision Kate Djiaha, n’a pas sa langue dans la poche. Cette fois, elle dénonce les pratiques dans les médias camerounais, qui conduisent les patrons de presse à payer leurs employés femmes à partir de leurs performances sexuelles.

Kate Djiaha ne va jamais se taire mes people. La journaliste reconnue pour ses sorties dénonciatrices vient encore une fois de frapper. Cette fois, elle s’en prend aux patrons de presse au Cameroun qui semble être très fort pour le harcèlement sexuel, selon la journaliste trentenaire. Elle a publié un texte via sa page Facebook intitulé « violence sexiste dans les médias« , dans le cadre de la campagne « 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes« . « S’il y a quelque chose que l’affaire Martin Camus Mimb a révélé au grand public, c’est bien la malheureuse réalité de la chosification de la femme dans le monde des médias au Cameroun. Une réalité qu’on retrouve évidemment au-delà de nos frontières !  C’est un monde dans lequel la femme est humiliée par des aînés et des patrons qui ne pensent qu’à une seule chose: L’ASSOUVISSEMENT DE LEUR PLAISIR MALSAIN ! », dénonce celle-ci.

« Ils sont nombreux à avoir critiqué Martin alors qu’ils s’abreuvent à la même source! Les histoires de stagiaires harcelées, de personnel féminin transformé en objet sexuel, de présentatrices sans talent propulsées sur des plateaux d’envergure quand certaines, bien plus brillantes sont recalées. Les histoires de salaires fixés sur la base des prouesses sexuelles, de responsables de médias dont les bureaux sont transformés bordel, de missions « Hard-sex ».  En somme le genre de choses inavouables qu’on s’évertue à faire subir à la femme pour lui donner le droit de passer à la télévision, la radio, d’avoir quelques lignes dans un journal, un magazine ou un site web, au détriment de sa dignité ! Le comble c’est quand ils se retrouvent entre eux, en parlent et rigolent à gorge déployée devant un verre de Jack Daniel’s…Il faut que cela cesse ! », a-t-elle conclu. Prenant exemple sur le cas Martin Camus Mimb, elle tire une sonnette d’alarmes pour dénoncer ces pratiques, qui seraient monnaie courante dans les médias.

La journaliste a décidé d’utiliser les 16 jours de cette campagne, pour dénoncer les pratiques dans différents milieux: violences faites aux femmes en milieu scolaire et universitaire, dans les milieux hospitaliers, dans le domaine de la culture, contre les handicapées… etc. Elle produira 16 textes sur cette thématique, et ils seront sur sa page Facebook.

La journaliste a toujours été une fervente militante dans les histoires qui touchent aux droits des femmes. Jadis, présentatrice de l’émission « Regard Social », elle s’est envolée il y a quelques mois vers le Canada pour rejoindre son mari et son fils. On se souvient de son courage lorsqu’elle a annoncé avoir été victime d’un viol à l’âge de 06 ans. Du coup, elle ne perd jamais l’occasion de s’exprimer face aux événements sociaux du 237. Vous pensez quoi de cette nouvelle sortie mes people ? …

Audrey Nabila Monkam a permis au Cameroun d’être sur l’un des podiums de Miss monde 2021. La camerounaise est parmi les trois meilleurs top models du monde.

« Record battu pour Audrey qui place le Cameroun 2ème au mini concours top model de miss monde« . C’est le message qu’on retrouve sur la page officielle de Miss Cameroun. Eh oui, Audrey Nabila Monkam figure dans le top 3 des meilleures top models du monde, l’une des branches de la compétition Miss Monde. C’est un grand honneur que le Cameroun n’a jamais atteint jusqu’à ce jour au sein de cette compétition.

A la première place on retrouve Miss Côte d’Ivoire Olivia Yacé, qui est d’ailleurs l’une des favoris de cette année, et la troisième place est occupée par Miss Puerto Rico. L’Afrique a frappé fort pour la récompense « top model miss monde ». On peut être fier de notre miss Cameroun 2020 qui porte bien haut notre drapeau tricolore. Et peu importe l’issue de la grande finale qui va se tenir le 16 décembre prochain, notre miss à déjà un trophée. La classe ! …