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C’est avec beaucoup de peine que la chanteuse Lady Ponce a partagé son ressenti sur la toile. Elle ne se sent plus à l’aise dans ce métier qu’elle a choisi et compte faire un break.

Lady Ponce a longtemps été au coeur des polémiques. Au même moment où sa carrière brillait, son nom chauffait dans les bad buzz, japap et autres critiques via Internet. Aujourd’hui, la ponceuse semble essouflée de cette vie sous la projecteur. Son amour pour la musique est certes intacte et elle  a toujours écris personnellement ses textes pour les faire ressentir auprès des mélomanes, mais le reste est au dessus de ses forces.

« Mes jeunes sœurs et frères croyez moi j’aurais parfois mille fois préféré ,avoir une vie bien simple loin de tout ce tapage inutile, loin de moi de cracher sur la soupe et sur vos soutiens par milliers que vous m’avez apporté et que vous continuez à m’apporter. Aujourd’hui je vous dis ma triste vérité. Je ne suis pas heureuse dans ce monde que j’ai choisi par famine. Un parent voit loin. Parfois je me dis que j’aurais dû embrasser la vie de nonne que mon père souhaitais tant pour moi. Mais hélas ,j’ai choisi ce métier où ta vie est inventée et interprétée par ceux qui de près ou de loin n’ont jamais croisé ton chemin. Un monde où une simple photo avec un inconnu devient autre chose. Un monde où l’hypocrisie et la diplomatie sont la grande croyance. Ceux qui me connaissent réellement savent que ,j’adore m’éloigner et m’enfermer dans ma chambre, pas par mépris pour mon entourage, c’est parce que au fond de mois, je ne suis pas heureuse dans ce que je fais. Parce ce que je regrette énormément d’avoir choisi d’être qui je suis, aujourd’hui. Oui, je regrette tellement, et c’est difficile parfois parce que faire un métier ou encore continuer à faire un métier qui te rend malheureuse c’est pas facile. » a-t-elle écrit. On peut ressentir sa peine en posant ces mots. Le métier d’artiste au Cameroun est finalement encerclé par de la négativité et c’est pénible mentalement.

Elle s’est aussi adressée à tous ceux qui la prennent pour modèle et rêve de devenir artiste à leur tour: « Beaucoup me demanderont pourquoi tu continues . Je me dois de continuer parce que beaucoup de personnes comptent sur moi. Ma famille, mes orphelins, et mes fans, je suis à un âge où je ne cherche plus à plaire, à ceux qui ne sont pas en accord avec mes propos, parce que mes propos m’engagent personnellement. Alors chers frères et sœurs si réellement vous choisissez ce chemin que j’ai choisi comme métier, soyez en sûrs que, c’est vraiment ce que vous voulez faire et soyez près à ce que vous ne serez plus vous mêmes. On vous attribuera presque tout ce qui est mauvais ,vos meilleurs actions ne seront jamais assez qualifiées et célébrées. Mais vos égarements seront mieux mis en avant. » a-t-elle expliqué.

Au final, Lady Ponce a pris une décision radicale pour son bien-être: « Ceux qui vivent la même situation que moi le savent. Après mon Olympia, le 10 septembre 2022, je serais très absente des réseaux sociaux. Parfois je sais que je vous manque vous me cherchez vous voulez me voir faire ,les photos, les vidéos les apparitions mais croyez moi c’est pas facile pour moi. » a-t-elle ajouté. On verra donc de moins en moins la chanteuse. Loin des projecteurs elle pourra peut-être se reconstruire.

Lady Ponce n’est pas la première artiste a dévoiler sa souffrance face au comportement du public au Cameroun. Le rappeur Rol’k le parano et Askia ont révélé leur mal-être et dépression face à la pression sociale qu’implique leur profession.

Un tableau récapitulatif des prix d’accès et des séances photos-vidéos du monument le patriote vient d’être publié. Tout sera donc payant au nouveau monument.

Le monument du patriote trône fièrement au milieu de la ville de Yaoundé, lieu dit « rond-point premier ministère ». Mais l’architecture a été massivement critiquée une fois dévoilée. D’après les commentaires sur la toile, on constate que le public s’attendait à un échangeur pour décongestionner les voies du centre-ville. Ce nouveau monument, il faudra donc s’y habituer. Et une note provenant de la communauté urbaine de Yaoundé vient d’informer le public des prix d’accès à cet espace et des prix pour des séances photos et vidéos. Ce ne sera donc pas gratuit.

Le monument est dédié aux activités artistiques, culturelles et touristiques. Voici les différents prix y afférents:

– Prix d’accès: 200 Fcfa (pour enfants de 0 à 14 ans), 500 Fcfa (à partir de 15 ans), 3.500 Fcfa (famille de 10);

– Prix d’accès visite scolaire: 5.000 F l’heure (10 à 20 élèves), 10.000 F l’heure (20 à 50 élèves), 15.000 F l’heure (plus de 50 élèves);

– Séance photo de mariage: 15.000 F pour 45 minutes (si la séance a été annoncée au préalable) 20.000 F pour 45 minutes (séance non-annoncée), 2000 F pour 30 minutes (Appareil photo personnel / photographe non affilié au site);

-Tournage de vidéogramme / Film: 15.000 Fcfa (Séance photo annoncée au préalable), 20.000 Fcfa (Séance photo non annoncée)

La communauté urbaine a précisé quel sera l’usage de cet argent: « cette modique contribution des visiteurs permettra de supporter en partie les charges liées à l’entretien de l’édifice, à la prise en charge des agents d’entretien et de sécurité qui seront mobilisés de manière permanente, et au paiement des quittances d’électricité et d’eau » peut-on lire via le communiqué.

Le monument du patriote sera ouvert au public dès ce 04 juin de 6h30 à 18h30 de lundi à jeudi et de 6h30 à 20h de vendredi à dimanche.…

C’est via les réseaux sociaux que l’humoriste Moustik le Karismatik va organiser une foire. Une occasion pour les jeunes entrepreneurs de lancer leur business.

La Foire virtuelle du made in Cameroun ( FOVIMAC ) est le nouveau concept du 237 créée par l’humoriste Moustik le Karismatik. Il se donne pour mission d’aider les jeunes entrepreneurs du pays grâce à cette plateforme virtuelle en mettant en avant leur entreprise et les services qu’ils offrent, quelque soit le domaine d’activité.

Ainsi, du 30 mai au 13 juin à travers sa page Facebook et plusieurs autres pages professionnelles de son réseaux, Moustik publiera les informations des entreprises qui l’ont contacté, pour faire leur publicité. « Bonjour cher amis !!! pendant ces jours de foire , nous allons mettre en lumière le savoir faire de nos compatriotes. Ces artisans locaux chacun avec un Geni singulier fera étalage de son originalité pour le plaisir des consommateurs. » a écrit l’artiste via sa page.

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Dans une storie Snapchat, Muriel Blanche partage avec ses abonnés un moment difficile de son existence: elle a failli se faire amputer de la jambe à cause d’une plaie inguérissable.

Être star au Cameroun c’est être parfaite aussi bien moralement, mentalement et physiquement. Et c’est ce que les internautes ont fait savoir à Muriel Blanche il y a quelques jours. A travers des commentaires plusieurs lui ont demandé pourquoi elle avait une grosse cicatrice à la jambe. Qu’elle devrait acheter des crèmes anti-cicatrices pour avoir à nouveau la peau lisse.

C’est ce qui a conduit la directrice de casting et actrice a raconté cette partie sombre de son passé. Elle aurait eu une plaie qui a duré des mois et à dû subir une opération pour aller mieux: « Les cicatrices que vous voyez là sont dues à une plaie qui me rappelle une étape de ma vie où les sorciers voulaient finir définitivement avec moi. C’était l’année passée, j’ai eu une blessure je ne sais pas comment mais je faisais les pansements tous les jours pendant plus de 3 semaines, mais ça ne guérissait pas. On a failli l’amputer. J’ai du subir une opération électronique pour pouvoir enfin en guérir » a-t-elle écrit.

Ainsi ces cicatrices aujourd’hui sont une force pour elle et l’aide à avancer: « Du coup quand je regarde ces cicatrices aujourd’hui, je me dit j’ai failli perdre mon pied et cela me donne encore plus de force pour avancer dans la vie . Je n’ai pas besoin d’anti-cicatricants et autres pour le moment… Laissez ça comme c’est là » a-t-elle ajouté. Muriel Blanche a donc échappé à quelques sorciers qui ont voulu la rendre handicapée.…

Actuellement en France, l’artiste Tenor est allé donner un peu de sa force à l’auteure Djali Amadou Amal. Elle réalisait une journée dédicace de ses oeuvres.

Rencontres de deux tenors dans leur domaine respectif. Le chanteur Tenor, présent en France dans le cadre de sa tournée Européenne, est allé à la rencontre de l’écrivaine Djali Amadou Amal. Cette dernière, organisait ce 1er juin à la FNAC Montparnasse une journée dédicace de ses oeuvres: « Les impatiences« , livre ayant remporté le Goncourt des lycéens 2020 et « Coeur du Sahel« .

« Dédicace à la FNAC MONTPARNASSE à PARIS. Merci Tenor d’être venu. Merci pour le soutien. Ce fut un merveilleux moment passé ensemble. » a écrit Djali Amadou via sa page Facebook pour marquer le moment. Une belle rencontre où les deux passionnés d’art ont pu échanger et où le chanteur a pu acheter les livres. Le public a aimé voir ces images qui montrent qu’il n’y a pas de si grandes frontières entre les arts et que les artistes devraient tous se soutenir.…

L’artiste Naza a reçu une bonne dose d’insultes venant des camerounais. Des archives où on peut lire l’artiste traiter les camerounais de tous les noms sont ressortis.

Naza ne sait pas qu’il ne faut jamais insulter les camerounais, surtout pas sur Twitter. Là-bas le relais est rapide et comme des abeilles, les camers sont prêts à attaquer. Des tweets du chanteur français ont refait surface ce 01er juin sur la toile, alors qu’ils datent de 2013. Et c’est 09 ans plus tard que les camerounais voient ce contenu et s’en prennent à l’artiste.

On peut lire une dizaine de tweets où Naza dit que les camerounais ressemblent à des singes, ils ont des grosses têtes. Que des injures non justifiées. Les screenshots ont rapidement circulé et Naza a vu la réaction du 237. Il s’est aussi copieusement fait insulter. Entre ceux qui se moquaient de son physique, de sa musique ou de sa vie. Naza a supprimé les tweets problématiques mais c’était trop tard.…

Richard Bona a encore frappé. A travers un commentaire sur la toile, il a répondu à une internaute qui lui rappelait à quel point ses chansons étaient utilisées au moment des repas.

Si tu es déjà allé à une grande fête au Cameroun, tu sais que le moment du repas correspond au moment où le DJ lance tous les makossa. La musique calme et douce est idéale et 100% camer. Que faut-il de plus? Et le public a déjà retenu cette habitude. Une internaute a donc décidé de rappeler cela à l’artiste Richard Bona. Plusieurs de ses titres de makossa sont souvent jouer lors des repas. « Ninja tu as une chanson là qu’on met au moment de manger dans les réceptions. J’aime la chanson là jusqu’ààà » a-t-elle écrit.

L’artiste avec son côté décalé légendaire n’a pas manqué de répondre et une fois de plus de faire un clin d’oeil au gouvernement camerounais: « Si cela peut vous aider à digérer cette eau colorée du robinet… moi quoi? » a-t-il lancé. La vanne a frappé fort sur la toile, bien que plusieurs n’ont pas apprécié cette réplique du ninja.…

Le producteur Adah Akenji a fait une analyse de la musique urbaine au Cameroun. Selon lui actuellement, la majorité des artistes sont devenus des comédiens.

Adah Akenji n’a pas la langue dans sa poche. Le mari de Sandrine Nnanga a dévoilé via sa page Facebook son analyse de la musique camerounaise en ce moment. Les singles en sortis, les chansons qui tournent le plus proviendrait d’un endroit très particulier selon lui: « pour l’instant, la musique urbaine au Cameroun semble provenir davantage des régions du Nord-ouest et du Sud-ouest » a-t-il écrit. Producteur, réalisateur et chanteur, il est dans le domaine musical depuis près de 15 ans. Ayant déjà travaillé sur les projets de Sandrine Nnanga, Boy Tag, Tenor et Blanche Bailly entre autres, il est assez introduit et semble sur de ce qu’il avance. On se souvient d’ailleurs qu’il avait décliné son invitation pour les canal d’or car Magasco, le bamenda boy n’était pas nominé ni présent.

Adah Akenji a également déploré que plusieurs acteurs du secteur sont en perte d’inspiration. « Dieu merci pour des artistes comme Xzafrane et Ivee. Les autres sont maintenant comédiens. C’est alors Moustik le Karismatik et Fingon Tralala qui avaient raison. Je sais que ça fait mal mais c’est vrai » a-t-il conclu. Une parole qui va piquer plus d’un, mais qui ouvre un débat sur les contenus et la productivité des artistes du 237.…

L’actrice Chelsy Suzy a été harcelée sur Internet par des internautes qui pensent qu’elle force juste la carrière de mannequin de sa fille. Cette maman poule a décidé de répondre à ses détracteurs.

« Dieu du ciel, les mères qui vendent leur enfant, on vous reconnait avec ce genre d’acte. Pitié de la petite. », « On peut forcer la starmania à l’enfant comme ça?« . Voilà quelques critiques acerbes qu’à reçu l’actrice Chelsy Suzy ces derniers jours. Les internautes considèrent qu’elle « force » une carrière de mannequin à sa fille. Elle devrait laisser l’enfant jouir de son enfance et juste aller à l’école au lieu de prétendre qu’elle sera une star et lui faire des photos pros pour lui chercher des contrats.

Les multiples critiques n’ont pas été apprécié par l’actrice. Elle s’est enflammée via son compte snapchat pour répondre à ses détracteurs.  Elle a tenté d’expliquer son envie de réussir en montrant que la vie artificielle que les jeunes filles attendent n’est pas idéale: « C’est pourquoi c’est tellement facile de nos jours de vous tromper que vous pouvez réussir facilement sans effort, et devenir très riche du jour au lendemain. Ne force pas hein, l’homme marié va quitter sa femme qui a forcé avec lui depuis 20 ans pour toi, juste parce que tu as un collant percé un haut dos nu et une fausse babouche Hermès. Vous rêvez trop mes petites, c’est pourquoi on retrouve les cadavres des jeunes filles partout dans les villes. » a-t-elle écrit pour s’indigner des critiques.

Chelsy Suzy explique aussi les raisons qui  la pousse à se battre bec et ongles pour le succès dans sa petite famille: « Je suis la fille de qui pour ne pas forcer? la seule  chose que je ne force pas c’est l’amour des gens, sinon le reste hein, on va forcer avec le travail (cours de walking, photoshop, etc). Si ton nom ne fini pas par Biya dans ce pays, lèves-toi et force les choses jusqu’à ce que tu n’aies plus de force« . On peut conclure que miss Chelsy va continuer à se concentrer sur l’évolution de la carrière de sa fille n’en déplaise à certaines personnes.…