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Dans un commentaire sur la toile, le journaliste Jean Bruno Tagne s’oppose à l’incarcération de la jeune Cynthia Fiangan annoncée via les médias sociaux. Pour lui c’est une répression de trop.

Jean Bruno Tagne est clair dans son propos. Le fait de condamner Cynthia Fiangan à une peine de prison n’arrange pas le problème de la société camerounaise qui est plus profond. C’est un acharnement sur des personnes vulnérables au détriment d’autres qu’on érigent en star et qui pourtant ont la même vie, voire pire, que cette jeune fille. « Un pays où il est toujours plus facile de s’acharner sur les plus vulnérables. Cette fille a plus besoin d’accompagnement que de cette brutalité qui cache mal les lacunes de notre société. Oui elle a mal fait. Oui elle doit être blâmée. Mais jetée en prison, me semble excessif » a-t-il écrit via un commentaire sur Facebook.

Elle devient alors une autre victime d’un système corrompu qui a érigé des mauvaises personnes en modèles: « Ce sont ces mêmes gens qui ont érigé des péripatéticiennes (dont la pauvre s’inspire) en modèles dans cette même société. Ce sont elles qui ont même vendu notre CAN SUCREE. A vomir. » a-t-il ajouté. Pour le célèbre journaliste, il est plus facile qu’on mette en lumière une prostituée qui s’achète des grandes marques et qu’on blâme une femme du même domaine qui est simple dans la société, mélangé aux autres.

Pour rappel, Cynthia est cette jeune dame qui a publié de nombreuses sextapes d’elle sur la toile, et qui est en ce 19 juillet, conduite vers une incarcération dans les geôles de Yaoundé. « On vient d’offrir cette pauvre fille en cadeau à des prisonniers en jachère. Vive le Cameroun. » a ajouté Jean Bruno Tagne indigné par le choix de cette « cible ».…

L’ex capitaine de l’équipe de football du Cameroun, Stéphane Mbia, risque la ferme prison en Espagne. Son divorce avec sa femme pourrait ne pas lui être favorable.

L’épouse du footballeur franco-camerounais Stéphane Mbia, a engagé une action en justice contre lui après un épisode violent survenu il y a quelques mois à son domicile de Boadilla del Monte. En effet, le 9 décembre 2021, l’épouse du footballeur franco-camerounais Mbia, ancien joueur de Séville et de Fuenlabrada, a comparu devant la police municipale de Boadilla del Monte pour dénoncer l’épisode présumé de violences conjugales subies aux premières heures la veille.

Les événements, rapportés par le journal espagnol « El Confidential » ce 17 juillet, ont eu lieu dans la maison que les deux partageaient dans la ville de Madrid. Selon le rapport de police, et après une vive dispute, il lui a crié dessus en lui disant qu’elle devait quitter la maison. Il s’est alors mis à jeter les vêtements et affaires de sa femme hors des placards. Cette dernière a répondu qu’elle quitterait la maison, mais qu’elle le ferait en emmenant avec elle ses enfants de 11 et 9 ans selon le récit contenu dans le document rédigé par les agents de police.

À ce moment, toujours selon madame Mbia, le footballeur l’a attrapée par le cou et lui a tordu le bras droit. Plus tard, il l’a traînée dans la chambre commune, l’a jetée sur le lit et menacée de la tuer. « Soit tu pars d’ici, soit je te tue. Tu vas partir oui ou oui. Tu verras. Je vais faire quelque chose que je vais regretter, peut-être que j’irai en prison », lui a dit son mari, selon ce que la femme a déclaré aux agents. La jeune dame a avoué avoir eu peur pour sa vie, elle a pris les menaces et les actes de son mari au sérieux. Une déclaration qui plombe encore plus l’ancien de l’équipe des Lions Indomptables, quand on sait comment en Europe on fait plus attention à la mère et aux enfants.

Ainsi Mbia pourrait être privé de liberté, et la procédure de divorce entamée par son épouse, verrait l’ancien capitaine perdre tous ses biens en Espagne.

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Cyrille Bojiko a fait savoir son mécontentement contre plusieurs cinéastes camerounais. Ces derniers autorisent la diffusion de leur production aussi bien sur Balafon TV que sur d’autres chaines concurrentes.

Le patron de Balafon TV en à ras-le-bol. Les producteurs camerounais veulent le doubler. Il a vécu plusieurs fois déjà, des scènes qu’il n’a pas apprécié alors qu’il était en plein contrat avec des maisons de production. Selon Cyrille Bojiko, plusieurs séries diffusées sur sa chaine, sont également diffusées sur d’autres chaines concurrentes, en simultanée.

« Bonjour chers tous. Je demande aux hommes et femmes du cinéma d’être un peu sérieux. On ne peut pas vendre une série à Balafon TV et la même est diffusée au même moment sur cinaf, j’ai eu ce coup avec foyer polygamique et je le vis aussi avec Dernière volonté. Je pense sérieusement à me retirer du cinéma camerounais. Franchement ça devient vraiment compliqué de traiter affaire avec les compatriotes. J’irai voir ailleurs. » a-t-il déclaré à travers un message.

Le journaliste et patron de presse souhaite de la transparence et surtout éviter cette concurrence directe. Le produit qu’il diffuse perd ainsi de sa valeur s’il est diffusé dans divers autres endroits. Et si cela persiste, Bojiko pourrait bien arrêter de diffuser des films et séries camerounais dans son média.