Stanley Enow: « il faut que j’enlève le nom de Charlotte Dipanda dans Hein père »

Le rappeur Stanley Enow a un gros goumin depuis l’annonce des fiançailles de l’artiste Charlotte Dipanda. Il pense a retiré son nom de son grand succès « Hein père ».

Goumin n’est l’ami de personne comme dit la belle famille ivoirienne. Stanley Enow a révélé son petit choc après la découverte de la vidéo de la demande en mariage de Charlotte Dipanda. Le rappeur a toujours profondément apprécié Charlotte Dipanda. Il l’a d’ailleurs cité dans son titre à succès « hein père« : « Charlotte Dipanda a go marry you » peut-on suivre dans ce titre.

En voyant donc que finalement Charlotte est promise à son chéri Fernand Lopez, le goumin de Stanley a été gros. « Je dois enlever le nom de Charlotte Dipanda dans hein père. Je ne suis pas heureux depuis que j’ai vu son post hier » a-t-il écrit via sa page Facebook.

Biensur, c’est juste une note d’humour du king kong. Une petite pensée qui lui permet de remettre au gout du jour son fameux titre « hein père« . Trop sage le gars!…

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Musique: Coco Argentée pense à mettre fin à sa carrière

La chanteuse Coco Argentée a déclaré via sa page Facebook être prête à se retirer du game. Se dirige-t-on vers la fin de sa carrière musicale?

Coco Jackson, la go galaxy, la go des ways,  les surnoms de Coco Argentée font comprendre la place que l’artiste a dans le coeur de ses fans, mais aussi a quel point elle est prolifique dans son domaine. Mais malgré cela, Coco semble vouloir déposer son micro, mettre fin à sa carrière musicale.

C’est ce qu’elle a laissé sous-entendre via une publication Facebook: « Après ma sortie imminente je ressens le besoin de sortir du game j’ai joué ma partition. Je vous aimes« . Un message qui tire la sonnette d’alarme auprès de ses fans qui ont encore soif de la voir sur scène. Elle prépare une nouvelle production musicale et pourrait s’éloigner des projecteurs juste après cela.

Pourtant l’artiste à difficilement eu des titres qui sont passés inaperçus. Elle a toujours été au devant de la scène, adulée pour son travail. A 40 ans, après trois albums, de nombreux singles et une dizaine de distinctions honorifiques, elle pourrait bien se tourner vers de nouveaux horizons.…

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Charlotte Dipanda: son incroyable demande en mariage

La majestueuse chanteuse Charlotte Dipanda a vécu la plus incroyable demande en mariage, à bord d’un avion. Son amoureux Fernand Lopez lui a passé la bague au doigt.

En larmes, Charloette Dipanda a été très touchée par cette demande en mariage originale. Alors qu’elle est en plein voyage à bord d’un avion avec son chéri Fernand Lopez, ce dernier à profité pour lui poser la fameuse question: « veux-tu être ma femme? ».

Il a fallu la complicité des hôtesses de l’air pour réaliser cette prouesse. Alors que le service de l’avion sers le désert du repas aux passagers, Charlotte reçoit une belle assiette avec un mot et une petite boite noire où se trouve sa bague de fiançailles. Eh oui, c’est une hôtesse qui livre le cadeau de Fernand Lopez à sa dulcinée et elle s’est juste mise à pleurer de joie. Et bien sur, elle a dit oui, avant de partager un tendre baiser avec son futur mari.

La toile a été agréablement surpris de cette demande, se souvenant d’une parole claire de l’artiste concernant le mariage: « c’est quelque chose qui arrivera quand je trouverai la personne qui partage les mêmes valeurs du mariage que moi« . On peut donc conclure qu’elle a trouvé cette fameuse personne. Elle a fait un petit commentaire sur ce beau moment via sa page Facebook: « Coucou , je pense que c est arrivé parce que j ai trouvé quelqu un qui partage les mêmes valeurs du mariage que moi??❤️ Merci à tous pour vos vœux de bonheur. Much Love » a-t-elle écrit. Que du bonheur au couple.…

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Cinéma: le duo Clarisse – Mado de retour sur petit écran

Les deux actrices qui ont fait vibrer le coeur des cinéphiles camerounais il y a plusieurs années se retrouvent enfin. Mado et Clarisse sont sur le plateau d’une toute nouvelle série.
Leur dernière scène ensemble remonte à la série « foyer polygamique ». En tant que les actrices Diane Mekongo alias Clarisse et Denise Abaze Sack alias Mado, elles avaient chacune des caractères bien trempés et prêtes à défendre leur foyer envers et contre toutes les autres rivales. On se souvient aussi qu’elles ont partagé des scènes dans la série « Ennemis Intimes », remastérisée sous le titre « la veuve », depuis quelques semaines sur A+.
On peut donc dire qu’elles se maitrisent déjà dans leur jeu d’actrice. Et elles sont de retour ensemble, pour une nouvelle aventure. C’est Diane Mekongo alias Clarisse qui en a fait l’annonce via sa page Facebook: « Coucou mes amours, après plus d’une décennie Mado et moi sur un plateau, plus rivales que jamais » a-t-elle écrit. Même l’image laisse déjà voir que ce sera une production choc.

Le nouveau défi c’est au sein de la série « Convoitise » qui est en plein tournage et où elles se donnent la réplique. Le résultat de cette production sera donné d’ici peu.

Le public est heureux du retour de ces deux bêtes de scène qui s’étaient éloignées des caméras pour diverses raisons. L’ancienne partenaire de scène de  » Mitoumba » avait réapparu sur la scène en 2019 dans la saison 2 de la série  » Au-delà du destin  », après une longue absence due à sa casquette d’enseignante et à la maternité. Diane Mekongo de son côté, a tourné dans plusieurs productions à l’exemple du film « return ». Elle est désormais scénariste, nominée dans plusieurs cérémonies de récompenses pour son travail dans le cinéma. Elle est aussi friande de l’actualité people, et donne constamment son avis sur la toile.

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Djene Djento: l’artiste d’Etat a tiré sa révérence

L’artiste Alain Djene Djento a quitté ce monde dans la nuit du 15 décembre 2022, alors qu’il se rendait à un spectacle à l’Ouest Cameroun.

Mois de décembre très difficile pour la musique camerounaise. Après le décès du tenor du makossa Ekambi Brillant ce 12 décembre 2022, c’est au tour de Djene Djento de quitter ce monde.

En route pour un concert dans la ville de Dschang (région de l’Ouest), le prince du Nkam a fait un malaise. Conduit à l’hôpital de Loum, l’auteur du titre à succès « Débrousailler » ne survivra pas. Sa dépouille est actuellement à la morgue de Loum. L’artiste Georges Dickson a été mandaté par la famille du défunt pour ramener la dépouille dans la ville de Douala.
Surnommé l’artiste d’Etat, le nom de cet artiste est surement peu connu de la jeune génération. Mais son succès dans les années 80 a été remarquable. Son album « Débroussailler » sorti en 1985 est un succès phénoménal, il fait une razzia des prix et des distinctions partout au pays et même hors des frontières, il est sollicité partout. Il signe avec Tamwo Isidore, grand producteur à cette époque, il se sépare hélas de Manulo et monte à Paris avec Mister Bibi, un autre as de la rythmique, « Ndol’a Bwanga » est un succès toujours dans la suite du précédent. Djene Djento est désormais une voix qui porte, tout le monde se l’arrache, il remonte à Paris pour « Pompé » en 1988 sous la direction de Aladji Toure, changement de cap, il entre dans la cour des grands cette fois.
Djene Djento a ainsi eu une carrière longue et riche et était toujours en activité. Le makossa perd un autre baobab.
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Clash: Calixte Beyala tire sur Djaili Amadou Amal

Dans une publication Facebook, Calixte Beyala ne reconnait pas Djaili Amadou Amal comme une vraie auteure de livre.

Tous bons amoureux de littérature camerounaise connait la langue bien pendue de Calixte Beyala. Elle ne mâche pas ses mots. Cette fois, elle a fait une publication incendiaire où elle choisit les « vrais » auteurs camerounais.

« Si on me demandait quels sont les grands noms de la littérature camerounaise en tant que romancière je dirai : Ferdinand Oyono, Mongo Beti, Leonora Miano, Patrick Nganang, Gaston Paul Effa, Gaston Kelmann, Ngeng, Bia, Dr Assana Ibrahim, Eugène Ebodé, Pabe Mongo. Je ne parle pas ici d’essayistes, mais de vrais auteurs qui manient réellement lalangue avec dextérité et savoir faire, pas un phénomène de mode. Cette liste n’est pas exhaustive mais met en exergue les auteurs les plus importants, les incontournables. » a-t-elle écrit. Une belle liste de nos grands noms de la littérature qui jusque là ne présente pas de problème. Mais les réponses de dame Beyala dans les commentaires sont moins complaisants.

A la question d’un internaute de savoir où elle même se situe dans la littérature camerounaise, elle dira: « Il va de soi que je suis la meilleure, sans prétention », et par la suite, elle est interpellée sur l’absence du nom de Djaili Amadou Amal dans sa liste: « Quand on parle de vrais écrivains, on parle de vrais écrivains !un écrivain est celui qui écrit lui-même ses oeuvres » explique Calixte Beyala.

Djaili Amadou Amal n’aurait-elle donc pas écrit ses propres oeuvres? Après avoir remporté le prix Goncourt des Lycéens, ainsi qu’un doctorat honoris causa à la Sorbonne Nouvelle, Djaili a bien le vent en poupe. Mais si Calixte Beyala considère que c’est un effet de mode, va savoir pourquoi. Rivalité ou révélation, vous en pensez quoi mes gens?…

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Football : Luka Kameni le fils de Carlos Kameni fait ses débuts en Espagne

Le milieu de terrain de 18 ans a participé à la victoire de son club Marbella FC le weekend dernier.
Baptême du feu pour Luka Kameni. Ce weekend, le joueur de Marbella FC en quatrième division espagnole a fait ses débuts avec l’équipe première. Contrairement à son père qui évoluait comme gardien de but, lui, il a choisi de jouer dans l’entre-jeu. Titulaire au coup d’envoi, il a aidé son club a remporté les trois points de la journée contre Deportivo Huetor.
Le milieu de terrain avant Marbella FC a longtemps séjourné dans des équipes comme Malaga FC ou encore Espanyol de Barcelone où son père a également joué quand il était encore du côté de l’Espagne.
 
Luka Kameni rejoint ainsi la liste des fils des anciennes gloires du football camerounais qui ont décidé de suivre les traces de leur père comme Enzo Tchato (Bill Tchato), Etienne Eto’o (Samuel Eto’o), Anthony Elanga (Joseph Elanga), Stéphane Bahoken (Paul Bahoken), Nolan Song (Alexandre Song), Pierre Kundé Malong (Emmanuel Kundé).
Paul WANDJI
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Prix RFI Talents du rire: Stephan Dipita vainqueur de la 8ème édition

Le comédien camerounais Stephan Dipita est au sommet du prix RFI Talents du rire 2022. Il décroche le sacre face à une dizaine d’autres artistes africains.

Ils étaient 10 nominés au départ issus du Gabon, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de Madagascar et de la RDC mais, c’est le camerounais Stephan Dipita qui remporte ce 12 décembre 2022 le Rfi Prix talents du rire. Pour sa 8eme édition, le natif de Douala âgé de 28 ans, recevra son trophée en février 2023 sur la scène du festival Abidjan capitale du rire.
Alors que l’information fait le tour de la toile, le lauréat est heureux et a partagé son ressenti via sa page Facebook: « Heureux d’être le Lauréat du 8ème Prix RFI talents du rire. C’est galvanisant d’inscrire mon nom aux côtés de ces talents qui font rayonner l’Afrique dans le monde à travers leur humour et leur talent. Ce prix est dédié à tous mes rêveurs. Ces Stand-upeurs et comédiens qui osent, et qui malgré les difficultés continuent d’y croire et de raviver patiemment leur passion pour la scène. Yannick Guefack,jizmiyo,Botoms Onaan, Bertrand Kede, Miki Hans, Tchami merveille, Simon Touwe, Sylvanie, Julien Eboko, Kouadio, Ely koumetio, Tina Ekambi, pour ne citer que ceux. Ceci est le début je l’espère tous d’une nouvelle aventure. C’est possible les gars et les gos! C’est possible. Profonde gratitude à tous ceux qui donnent de la force à mon travail au quotidien. Une pensée pour le BOJ Douala, compagnie crane d’oeuf soyez bénis. » a-t-il écrit.
Dipita se présente comme un humoriste de génie, comédien, metteur en scène et aussi promoteur du festival D’humour GuiliGuili. Il a fait des études de théâtres et monté son premier one man show à seulement 23 ans. Il y moquait alors notre addiction aux réseaux sociaux. Son style évolue peu à peu et aujourd’hui, aucun sujet de société n’échappe à sa griffe: insécurité, politique, éducation, et bien d’autres.
Il est le deuxième camerounais à remporter cette récompense artistique décernée par Radio France Internationale, après Basseck Fils Miséricorde (2015). Dipita bénéficie d’un prix de 4.000 Euros (2.600.000 FCFA) destinée au développement de sa carrière.
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Happy d’Efoulan: le public valide son retour sur la scène musicale

Le nouveau titre d’Happy d’Efoulan intitulé « quand c’est bon c’est bon » met le public d’accord. Il répond à tous ses détracteurs dans ce nouveau single.

Le titre « quand c’est bon c’est bon » de l’artiste Mbolé Happy d’Efoulan sorti le 09 novembre 2022 est bien accueilli par la critique. Les internautes ont souligné le message que veut faire passer l’artiste ainsi que le beat qui met tout le monde d’accord.

Ce récent single d’Happy lui donne une tribune pour qu’il réponde à toutes les critiques qu’il a reçu ces derniers temps: « Le seigneur de la nuit ne voit même pas les marabouts. Ils m’ont saboté, traité de pd, aujourd’hui je fais ma chose, les gens parlent » chante-t-il. Selon lui, il est bon chanteur et du coup tout le monde parle de lui. Mais quand c’est bon, c’est bon, le sabotage ne changera rien à son talent.

Le public a bien apprécié qu’il réponde à toutes les rumeurs qu’il y a eu autour de lui, mais surtout qu’il n’a pas sorti d’injure ou de colère dans sa réponse. « Généralement quand un artiste est dans ta position, il fait un retour pour insulter mais pas d’injures dans ton titre, pas de paroles déplacées. Très calme et serein, j’adore. Bon retour le seigneur de la nuit », « L’erreur est humaine certes tu as déconné à un moment donné mais tu es revenu à la raison. Tu es un digne fils du 237. Tu as laissé ton talent parlé à ta place. Vas de l’avant », « Tu as encore beaucoup d’énergie et beaucoup à prouver. Je n’imaginais pas ton retour de la sorte, fier de te revoir, très bon son » peut-on lire via la chaine Youtube de l’artiste.

Après le tumulte qu’il a traversé ces derniers mois, il semble reprendre sa vie en main et revenir en forme dans la musique.…

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Nécrologie: Ekambi Brillant ne brillera plus

Le tenor du makossa Ekambi Brillant s’est éteint ce 12 décembre à Douala après une longue maladie. A 74 ans, il laisse un énorme héritage musical derrière lui.

C’est à l’hôpital Laquintinie de Douala que l’étoile du makossa, Ekambi Brillant, a rendu son dernier souffle ce 12 décembre 2022. Sa longue maladie l’avait conduit à une hospitalisation de huit mois entre l’hôpital militaire et l’hôpital général de Douala, avant une prise en charge plus importante en Turquie. Il était alors revenu à Douala en octobre pour une convalescence calme. Mais toute cette mobilisation n’aura pas suffit à lui donner assez de force.

Connu sous le pseudonyme de Mot’a muenya, qui signifie l’homme célèbre/distingué, en langue Douala, Ekambi Brillant se retire de la scène musicale après une carrière des plus fructueuse. 20 albums à son actif, une fondation et des classiques incontournables comme Massoma, Muna Moto, Elongi ou encore Moussoloki.

Ekambi Ekambi Louis Brillant, est un artiste et chanteur camerounais né le 18 juin 1948 à Douala. Il est originaire de Dibombari, un village tout proche de Douala. Tout jeune, il passe son enfance avec ses grands-parents maternels à Djébalè (banlieue de Douala) où nait sa passion pour la musique. En 1962, il est admis au concours d’entrée en 6e au Lycée Général-Leclerc de Yaoundé. C’est au Lycée Général-Leclerc qu’il apprend la musique et particulièrement la guitare sous le regard de Zane Daniel, professeur de musique d’origine française.

En 1971, à l’âge de 23 ans, il arrête ses études, en classe de seconde et rejoint la ville de Douala où il intègre l’orchestre les Crack’s comme guitariste. Ceux-ci se produisent dans la boite de nuit Le Domino. Il se présente ensuite au concours de la musique lancé par l’ORTF (Office de Radiodiffusion Télévision Française) aujourd’hui appelé RFI (Radio France Internationale), avec d’autres candidats tels que Manu Dibango, Francis Bebey dont il est le lauréat. C’est à l’issue de ce prix qu’il sort son premier disque 45 tours intitulé « Jonguèlè la Ndoloqui » qui enregistra 20 000 ventes. Arrivé en France en janvier 1972, avec le soutien de Jean Dikoto Mandengué (Bassiste camerounais), il fut produit par Phonogram et sort son second disque 45 tours qui fût également un succès avec 25 000 ventes. En 1975 il sort l’album « Africa Oumba » avec comme titre phare ‘’Elongui’’ qui a été repris par plusieurs autres artistes tant africains qu’européens. Cet album connait un record d’environ 4 millions de vente. Suivront des collaborations avec Slim Pezin comme producteur pour les titres ‘’Soul Castel’’, ‘’Musunguédi’’.

De passage au Cameroun dans les années 1976, Ekambi Brillant crée son orchestre appelé les Ebis (Ekambi Brillant Show) qu’il fait venir en France. Il aura contribué à l’éclosion de plusieurs artistes aussi bien camerounais comme Marthe Zambo, Valéry Lobé, Aladji Touré qu’africains à l’instar de Cella Stella, Angélique Kidjo. Avec plus de 20 albums à son actif l’artiste Ekambi Brillant a fait la promotion de la musique camerounaise dans au moins 65 pays du monde ce qui lui vaudra une médaille de commandant de l’ordre national de la valeur que le chef de l’Etat lui a décerné le 3 avril 2009. Repose en paix l’artiste.…

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