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Les élèves du Collège Mongo Béti de classe terminale pourraient ne pas composer l’examen final, le Baccalauréat. Des histoires de malversation entourent ce problème.

Plus que quelques jours avant le début des épreuves du baccalauréat général. L’examen finale qui doit permettre aux élèves d’enlever définitivement la tenue scolaire, approche à grand pas. Alors que tous les établissements ont pu gérer les dossiers de leurs élèves auprès de l’office du baccalauréat, ce n’est pas le cas pour le collège Mongo Beti. Selon les informations actuelles aucuns noms des candidats de ce collège ne figurent sur les listes de l’OBC.

« Le responsable chargé de faire enregistrer les candidats est accusé d’avoir « mangé » l’argent des dossiers et de n’avoir pas envoyé les dossiers à L’OBC. Le problème est que le responsable en question est décédé en cours d’année, donc ne peut pas se défendre et les autres responsables de l’établissement n’ont pas fait le suivi des dossiers de leurs élèves. » apprend-t-on via le site web GrandProf.org. Un véritable scandale qui surgit à la dernière minute pour ces élèves. L’information a fait le tour des réseaux sociaux et les internautes ont massivement demandé une solution pour ces élèves. Et ce matin du 25 mai, les premières listes ont été affichées devant le collège. Les listes des candidats aux Baccalauréats Allemand , C et D sont disponibles . Il reste celles de la série Espagnole. Plus de peur que de mal, on espère que tous les élèves pourront donc composer en toute sérénité.

Le ministre des enseignements secondaires Pauline Nalova Lyonga vient de signer une circulaire précisant les modalités de prise en charge des cas de grossesse constatés au sein des établissements scolaires.

La scolarité de la jeune fille n’est plus autant mise en danger par la grossesse, comme elle a été par le passé, depuis au moins 1980. A la faveur de la circulaire N°02/22/C/MINESEC/CAB du 22 avril 2022, le ministre des Enseignements secondaires donne une nouvelle perception de la grossesse à l’école. Pauline Nalova Lyonga lève les sanctions qui pesaient sur la jeune fille tombée enceinte sur les bancs. Désormais, celle-ci n’est plus frappée d’exclusion.

Cette circulaire qui abroge les dispositions de celle N°10/A/562/MINEDUC/ESG/DETP//DEPM/DEP du 19 janvier 1980, est souple. Elle énonce quatre  nouvelles mesures qui permettent de sécuriser la scolarité  de la jeune fille enceinte.

« Permettre, le cas échéant l’élève dûment reconnue enceinte de poursuivre les activités scolaires jusqu’à la 26è semaine de grossesse, période à compter de laquelle elle peut demander à être mise en congés de maternité ; autoriser l’élève à reprendre les cours après accouchement, et dans le mesure où les conditions de santé, de travail, d’âge, de discipline, sont remplie ; appliquer les mêmes mesures à l’encontre de l’élève auteur de la grossesse », instruit le ministre.

« Mobiliser autant que faire se peut les ressources humaines (…) en vue de l’accompagnement psychosocial et psychologique de l’élève concernée ; prendre les mesures disciplinaires en vigueur à l’encontre de l’enseignant et autres personnels d’encadrement, reconnus auteurs de la grossesse de l’élève », ajoute le patron des Enseignements secondaires au Cameroun.

Autrefois, depuis 1980, l’ancien ministre de l’Education nationale Adamou Ndam Njoya, de regretté mémoire, était intransigeant sur la question. « Toute élève reconnue enceinte sera immédiatement suspendue des cours ; elle ne pourra reprendre les cours dans le même établissement ou dans tout établissement parallèle qu’après l’accouchement et dans la mesure où les conditions d’âge, de travail et de discipline sont remplies », précise la circulaire N°10/A/562.

Selon le ministre Pauline Nalova Lyonga, « cette pratique accentue la déperdition scolaire chez les élèves-filles ». Tout comme elle pouvait amener les jeunes filles enceintes à dissimuler leurs grossesses ou à se faire avorter par crainte d’être exclues de l’établissement. Cependant, cette mesure qui assouplit le mode de gestion des grossesses en milieu scolaire pourrait accentuer le nombre de grossesses à l’école.

Arnaud Nicolas MAWEL…

Il s’agit du monument appelé ‘Le Patriote’. En chantier depuis le mois de janvier, il est situé au rond-point entre les services du Premier ministre et le ministère de l’Enseignement supérieur.

D’aucuns disent que les mariés auront bientôt un nouvel emplacement pour prendre des photos. Ou encore, le site pourra servir de cadre à une balade entre amoureux.

En tout cas, les habitants de Yaoundé auront bientôt un nouveau monument sur un site tout aussi grand qu’etincellant. Le nom attribué à l’édifice est Le Patriote.

L’édifice est construit au rond-point de la primature. Bien qu’il soit encadré par une clôture aux couleurs nationales (vert-rouge-jaune), on peut néanmoins apercevoir une représentation du chantier.

La principale attraction est l’érection des arcs les uns à travers les autres, avec au-dessus deux mains de couleurs blanches qui servent de soutien à des figures faites à la forme du Cameroun.

Tout en bas, on retrouve un cercle en béton où sont présentes plusieurs figures géométriques en béton notamment, des cercles, losanges et des étoiles.

L’œuvre selon l’ingénieur chargé des travaux, Hubert Andze Olinga, « est une œuvre qui garde l’identité culturelle des peuples du Centre. Elle est composée de deux arcs en fibre de verre. Son diadème est constitué de deux mains portant précisément la carte du Cameroun, de cinq piscines dont trois centrales en forme d’étoile aux couleurs du Cameroun. Le reste de l’espace sera piéton. »

Le maire de la ville de Yaoundé, Luc Messi Atangana renseigne sur sa construction. « En dehors de ses composantes esthétiques qui visent l’embellissement de sa zone d’implantation, l’ouvrage en question comporte des caractéristiques et des symboles cadrant aussi bien avec nos préoccupations contextuelles que notre quotidien, socio-culturel ou sportif. »

Paul Reinhard Wandji…

L’artiste musicien ivoirien s’en est sorti vivant à la suite d’un accident de la circulation aujourd’hui.

DJ Kerozen peut remercier le ciel d’être encore en vie. L’artist ce samedi, 23 novembre 2022, a échappé de peu à une mort causée par un accident de circulation.

Alors que l’artiste faisait son retour de Yamoussoukro pour rallier Abidjan, en Côte d’Ivoire où il était allé apporté son soutien à Didier Drogba (dans le cadre de l’élection à la présidence de la fédération ivoirienne de football ; élection qu’il a perdu), ses voitures (Range rover) ont fait face à une collision.

Fort heureusement, DJ Kerozen s’en est sorti vivant. Il a néanmoins été conduit à l’hôpital.

Prompt rétablissement l’artiste.

Paul Reinhard Wandji…

Un masque Fang du Gabon datant du XIXè siècle, encore dans un très bon état, a été vendu aux enchères pour plus de 4 millions d’Euros. Il a tout de suite été réclamé par le peuple gabonais qui demande la restitution de l’oeuvre d’art.

Selon le site web Afrik.com, un masque d’origine fang a été vendu aux enchères ce weekend à Montpellier en France. Dans un bon état, le masque qui était estimé à 400.000 euros environ s’est finalement vendu à 4.2 millions. Des collectionneurs étaient prêts à se l’arracher. Mais des citoyens gabonais ont perturbé cette vente en réclamant le retour de cette oeuvre sur la terre gabonaise. Via les réseaux sociaux, plusieurs ont reconnu cet objet sacré qui appartiendrait à la société secrète du Ngil (Gorille) au Gabon. Ils ont d’ailleurs évoqué de nombreuses malédictions qui pourraient s’abattre sur les futurs détenteurs si l’objet n’était pas restitué vers son origine.

Selon l’histoire du masque, il aurait été emporté par un ancien gouverneur français pendant la période coloniale. Celui-ci a travaillé au Congo et au Sénégal. Lors d’une visite officielle au Gabon, il s’en ira avec le masque traditionnel qu’il expose dans sa maison en France.

La question de la restitution du patrimoine culturel est chaude en ce moment où plusieurs objets culturels sont restitués à leur pays d’origine. Le Bénin par exemple a reçu 26 objets d’art de la France il y a quelques mois. Mais pour ramener un objet d’une telle valeur, il faut pouvoir établir le pays d’origine de l’objet ainsi que le processus d’acquisition des colons; si c’était un don, un achat ou un vol. S’il s’agit d’un vol ce serait plus facile de ramener l’objet d’art en Afrique mais si c’est un don ou un achat la tache sera plus ardue. …

Une rencontre entre le ministre des sports, les autorités administratives et les influenceurs camerounais s’est tenue ce 08 décembre à Yaoundé. Il a été demandé à ces derniers de bien gérer leurs communications sur la toile.

« On ne peut pas mettre le feu dans une maison et vouloir habiter cette maison« . Voilà l’une des phrases que Narcisse Mouelle Kombi, ministre des sports, a partagé avec les influenceurs du 237. C’était lors d’une rencontre entre les autorités administratives et les influenceurs du Cameroun à Yaoundé. Nathalie Koah, Biscuit de mer, Laura Dave, Nick Minyono, Taphis, Brice Albin et bien d’autres ont répondu présents à cet appel du gouvernement. Ces personnalités qui drainent des communautés avec des millions d’internautes, sont un point majeur pour véhiculer des messages positifs en cette période sensible de la Coupe d’Afrique des Nations qui va se tenir du 09 janvier au 06 février 2022.

Le Pr Narcisse MOUELLE KOMBI, président du COCAN 20-21 a tenu a rencontré les acteurs du digital camerounais pour un seul but, rendre la grande messe footballistique africaine « magique, mémorable, inoubliable ». Il souhaite ainsi, en passant par ces influenceurs, véhiculé des message d’amour, de respect et de tolérance. Le monde entier aura le regard tourné vers le Cameroun. C’est donc l’occasion de prôner l’unité nationale.

Ils ont suivi des exposés sur l’histoire de la CAN, la promotion de l’image de marque du Cameroun par le football, les réalisations du COCAN, et les recommandations pratiques pour une web influence performante du Cameroun et de sa Can. Ils sont fin prêts pour le Jour-J de la compétition. …

Le père de la petite Caro vient de donner la version de sa femme. C’était ce weekend lors d’une cérémonie familiale d’adieu à la petite de 05 ans.

Douleur palpable à Buéa le weekend dernier. Les hommages de la famille à la petite Caro Ndallé décédée après avoir reçu la balle d’un gendarme ont fait couler quelques larmes. C’est avec grande émotion que le père de la petite victime a pris la parole. Il a donné la version que sa femme lui a relaté une fois le choc passé. Et dans son témoignage, on comprend bien que ce n’est pas la femme qui était au volant.

« J’ai des voitures au Cameroun mais ma femme n’a jamais conduit. Elle ne sait pas conduire. On a un chauffeur de taxi qui conduit toujours les enfants à l’école en compagnie de mon épouse et après les avoir déposé à l’école, elle rentre à la maison. Mais ce jour-là, le collègue de ma femme est arrivé à la maison pour lui dire qu’il y avait un problème au travail et après avoir discuté, celle-ci lui a demandé s’il pouvait l’aider à déposer les enfants à l’école. Chose qu’il avait accepté. Il a donc démarré une de nos voitures. Arrivés au poste de contrôle, le collègue de ma femme qui était au volant est descendu du véhicule présenter les papiers au gendarme qui les a interpellé. Quelques instants plus tard, il va revenir avec un gendarme demandant à ma femme d’aller s’assoir à l’arrière du véhicule afin que l’homme en tenue puisse s’asseoir à l’avant. Il était question de déposer d’abord les enfants à l’école puisqu’ils étaient déjà en retard et que par la suite, le gendarme puisse mettre la voiture en fourrière. Mais, le gendarme va catégoriquement refuser cette option et ouvrir le feu sur le véhicule. » a ainsi déclaré Nelson Enonguene.

Les personnes présentes au lieu des hommages étaient stupéfaits par cette version, vu les exclamations qu’on peut entendre dans la vidéo de ce témoignage qui circule sur la toile. Monsieur Enonguene a aussi demandé à ses compatissants de ne pas regarder tout ce qui se dit sur Facebook. Cette version qui dit donc que la femme était au volant et a refusé de coopérer n’est pas la bonne selon la famille.

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Après quelques heures sans accès à leur page, les stars sont revenues ce matin communiquer avec leurs fans. Voici quelques réactions à chaud.

Mark Zukerberg n’a surement pas fermé l’oeil après le gros bug de ses réseaux sociaux. Facebook, Instagram et Whatsapp étaient inaccessibles pour des millions de personnes toute la soirée d’hier. Mais ce matin tout semble être rentré dans l’ordre. Les stars du 237 habituées à donner des news a leurs fans minute-by-minute étaient aussi touchées par le bug. Pas facile le retour.

C’est la comédienne Ruby qui a engagé les hostilités via ses pages: « Faites du bruit si vous êtes encore en vie! Manifestez vous les survivants » a-t-elle écrit avec humour. C’était un vrai événement spectaculaire si bien que les gens ont cru que la fin du monde était proche. « Salut ooh big boss, maintenant on sait ce qui peut dépasser le confinement pour cette génération, où bien à quoi peut ressembler la troisième guerre mondiale » a ajouté Salatiel. Les stars sont dépassés par l’affaire.

« Merci pour la pause obligatoire Mark Zukerberg lol » a écrit l’actrice Stéphanie Tum. « Vous avez survécu hier? Ça devrait peut être très souvent arriver ???? » a aussi écrit la comédienne Joys sa’a.

Chacun est allé à sa sauce pour exprimer sa surprise après le blackout des réseaux de Zukerberg. Mais ce matin c’est retour au boulot pour tous.…

Une grosse panne des réseaux sociaux a paralysé le web hier dans le monde entier. Facebook, Whatsapp et Instagram ne fonctionnaient pas.

C’était la panique dans les téléphones mes people. Entre ceux qui désinstallaient les applications pour les réinstaller, et ceux qui ne faisaient que recharger leur méga, c’était un vrai film. Mais ce n’était pas la faute de nos réseaux de communication cette fois ci. Les applications de messagerie de Mark Zukerberg ont bugé: Whatsapp, Facebook et Instagram étaient in-opérationnels. Au Cameroun, entre 16 heures et minuit c’était le blackout.

En cinq heures, plus de 14 millions d’utilisateurs, dans le monde entier, ont signalé qu’ils n’arrivaient pas à accéder à leurs comptes. La panne a touché l’intégralité du réseau social, utilisé par plusieurs milliards de personnes. Les services sont progressivement revenus à la normale pendant la nuit de lundi à ce mardi. Facebook à travers l’un de ses blogs a essayé d’expliquer la panne aux internautes: «  Nos équipes d’ingénierie ont appris qu’un changement de configuration des routeurs principaux qui coordonnent le trafic entre nos centres de données a entraîné des difficultés techniques aboutissant à l’arrêt de toute communication. Cette interruption des échanges du réseau a eu des effets en cascade sur la façon dont nos centres de données communiquent, provoquant la panne de nos services ». Quelques heures plus tôt, le site Cloudflare avait émis l’hypothèse que la panne était liée à une mise à jour de ces systèmes de routage. « Il ne semble pas que les données d’utilisateurs aient été compromises », a assuré le réseau social.

Et cet arrêt n’était pas gratuit. Le fondateur de Facebook a perdu près de 7 milliards de dollars américains en ces quelques heures de dysfonctionnement. Soit 12 millions par minutes mes people. Massah les chiffres ci chauffent la tête. En quelques heures, la fortune de Mark Zuckerberg a fondu de plus de 6 milliards de dollars, selon une estimation de Bloomberg. Elle est tombée à 121,6 milliards, toujours selon ce décompte. Depuis la mi-septembre, les pertes du patron de Facebook atteignent ainsi 15 milliards. Et Zukerberg est descendu à la 6ème place des hommes les plus riches selon le classement Forbes. …

Evacué il y a quelques jour, le roi Ibrahim Mbombo Njoya vient de décéder en France, à l’âge de 83 ans. Il était très attaché à la tradition et à la culture camerounaise.

C’est un grand homme de la tradition qui s’en est allé. Ibrahim Mbombo Njoya atteint de covid-19 depuis le début de ce mois de septembre a été emporté par des complications dû au virus. Le 11 septembre, il s’est fait évacué en France et interné à l’hôpital américain de Paris.

Ibrahim Mbombo Njoya, comme tout fils de sultan, était un privilégié. Au terme d’études primaires à Foumban, sa ville natale, il ira poursuivre ses études secondaires en France, puis reviendra les parachever au Lycée Général Leclerc de Yaoundé. Après son Baccalauréat, il poursuivra ses études supérieures au Sénégal, à l’Institut d’Etudes Administratives Africain de Dakar. Il y obtiendra un diplôme du deuxième degré. Il a ensuite engagé une carrière politique et administrative très riche au Cameroun.  Il aura occupé à sept reprises des fonctions ministérielles et à deux reprises celles d’ambassadeur.

Le 19ème roi de bamouns aura beaucoup milité pour la culture camerounaise. Il a notamment permis d’hisser le Nguon au patrimoine immatériel de l’humanité à l’UNESCO, en fin 2020. En dehors de ses apparitions dans le cadre professionnel, il était très présent sur la scène culturelle et sportive du 237.

Depuis 1992, Ibrahim Mbombo Njoya était le Roi des Bamouns. Comme le veut la tradition, il sera enterré dans la plus grande discrétion. Après, s’ouvrira alors une période de deuil. Le sultan laisse neuf veuves ainsi qu’une trentaine d’enfants. Son successeur, tenu secret pour l’instant, sera désigné parmi un des fils, né pendant qu’il était sous le trône.…