Joakim Noah et Lais Ribeiro attendent leur premier enfant

Deux ans après leur mariage, le couple Joakim Noah et Lais attendent un heureux événement. Bien qu’ils soient chacun déjà parents, ce sera leur première expérience ensemble.

Le 13 juillet dernier, Joakim Noah a épousé le mannequin brésilien Lais Ribeiro sur la plage de Trancoso, devant leurs familles et leurs amis. Un grand moment d’amour marqué par l’émotion. Et maintenant, c’est le moment de construire leur petite famille. L’ex basketteur franco-camerounais de 39 ans et son épouse brésilienne de 33 ans, ont annoncé qu’ils attendent leur premier enfant. Pour les deux parents, ce sera une seconde expérience. «Un petit wemby est en chemin» a annoncé Joakim.

En effet, Joakim Noah est déjà papa de Leia, de son union avec Isabelle Cutrim et Lais Ribeiro est maman d’Alexandre issu de son précédent mariage. Une nouvelle page s’ouvre donc deux ans après leur mariage, une aventure passionnante commence pour ce couple!…

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Obsèques de Landry Nguemo: le témoignage émouvant d’Alexandre Song

L’ancien Lion Indomptable s’est exprimé ce weekend lors des obsèques de son ancien co-équipiers Landry Nguemo. Un partage qui fait pleurer tous les internautes.

Landry Nguemo décédé le 27 juin dernier des suites d’un accident de la circulation, a rejoint la terre de ses ancêtres ce weekend du 17 août 2024 à Dschang, dans l’Ouest Cameroun. De nombreuses personnalités étaient présentes, notamment les footballeurs professionnels venus rendre un dernier hommage à leur ami et ancien collègue. Alexandre Song spécifiquement, devait s’exprimer car il était très proche de Landry Nguemo de son vivant.

« Je ne peux pas parler de Landry au passé, c’était mon frère! Ce qu’on a partagé a trop de valeur, ça n’a pas de prix. Il était à Nancy quand je l’ai connu en 2001 et on jouait souvent dans des équipes opposées. Il me faisait la misère au milieu de terrain et j’étais dépassé. Et quand j’ai su qu’il est aussi camerounais on a sympathisé et on a commencé à s’appeler l’amif. Deux ans plus tard, par la grâce de Dieu on s’est retrouvé au Cameroun et on a joué dans la CAN cadet ensemble, et on a gagné. L’amif c’était quelqu’un d’humble, un rassembleur, le seul qui savait me calmer, car plusieurs savaient que j’avais un caractère explosif. C’est l’un des seuls qui arrivait un peu à me calmer.

Des fois on restait au téléphone de 20 h à 22 h ou même 02 heures du matin, Cela énervé même nos femmes. Moi je ne connaissais pas Dschang c’est avec lui que j’ai découvert ici.  Il m’avait dit qu’il veut faire quelque chose pour sa communauté et on était venu ensemble voir le préfet. Et il devait présenté son projet, pas être couché comme je vois là. La dernière fois qu’on s’est vu il était chez moi il a fait dix jours. Et comme j’ai dit à sa femme elle peut venir à tout moment parce que l’Amif entrait chez moi tout le temps. Il avait sa chambre même quand je n’étais pas là. 

Quand j’ai appris son décès, il m’a pourtant appelé la veille. On devait se voir à Douala et j’ai préparé mes affaires pour descendre à Douala. Mais le matin vers 11 heures c’est Makoun qui m’appelle et me dit que Landry a eu un accident. J’ai refusé ça. Non Landry m’a fait signe récemment c’est impossible. Je l’appelle son numéro ne passe pas. Je demande à un de mes employés qui s’occupe souvent de lui quand il est chez moi d’appeler son numéro du Cameroun. Quand on appelle c’est le morguier qui répond et confirme que Landry est parti. J’ai pris ma voiture j’ai foncé pour venir voir cela. Les gens avaient peur que je prenne le volant j’ai dit non c’est mon frère je dois aller voir. Et j’arrive je vois Landry couché. Il est partit. C’est trop fort mon frère! On a joué ensemble, on a grandit ensemble, on a eu nos enfants ensemble, on les élevait ensemble« .…

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Jeux Olympiques 2024: Martin Camus Mimb analyse la participation de l’Afrique

Dans un texte éditorial, le journaliste sportif s’interroge après les résultats des pays africains ayant participé à cette édition des Jeux Olympiques 2024. Il déplore complètement l’organisation des fédérations africaines.  

J.O. 2024: AFRICA WHAT’S UP?
Le premier pays africain au tableau des médailles, pointe à la 30 ème position, au moment où ces lignes sont écrites. Le Kenya qui joue la résistance dans cette dégringolade, est justement le pays africain qui depuis plusieurs éditions obtient toujours le meilleur classement qui est allé en dégringolant justement. En 2008 à Beijing, il était à la 13ème position avec six médailles d’or. Huit ans plus tard à Rio en 2016, le même Kenya reculait à la quinzième position avec toujours ses six médailles d’or. Vous voyez très bien, que j’esquive l’Afrique francophone, qui même lorsqu’elle arrachait des exploits comme Françoise Mbango en 2008, pointait à la 53ème position. Je crois même que c’est pour eux que Pierre De Coubertin en guise de consolation, a balancé la légendaire formule, « L’essentiel c’est de participer » Tel que c’est parti pour les jeux olympiques en cours, je doute que le Kenya qui est à une médaille d’or, arrive à en avoir six. Tenez vous tranquille, aucun pays d’Afrique francophone, n’est visible au classement, même en se donnant la peine de fouiller les poubelles des soixante dixièmes. Plusieurs choses expliquent cela.
Les Comités Nationaux Olympiques sont des cases de retraite avec des mandats à vie. Quand on y entend des bruits, c’est pour des querelles dans d’autres fédérations qui sollicitent un arbitrage. Presque jamais, on les a vu se déployer et obtenir des conciliations. Ce sont donc des boites à lettres du CIO. Aucune animation du mouvement olympique. La promiscuité de vie des athlètes qui font des prospections dans tous les petits pays où la nationalité sportive leur offre un cadre minimal de préparation. Trouver donc une Kamga suédoise, est aussi banal aujourd’hui qu’on voyait les Koné, Traoré, Diallo ou autres en France. Si une double médaillée aux couleurs du Cameroun comme Mbango a terminé sa carrière aux couleurs de la France, il fallait le comprendre comme l’alerte qui annonçait un drame de survie. Et même le Kenya qui tenait tête, perd les meilleurs, naturalisés en cascades au quart de tour et parfois dans des îles perdues. Je ne veux même pas évoquer les fédérations qui se multiplient juste pour serrer la main du Chef de l’Etat à des occasions d’apparat,agrandir des photos d’influence, coller aux murs des bureaux et expatrier clandestinement des copines et copains sous des casquettes d’athlètes. Des responsables de fédérations qui ne connaissent même pas les classiques élémentaires des disciplines qu’ils prétendent diriger. Il y’a même déjà des pays où on a des fédérations de Sky sous le soleil. Quand on va aux jeux avec moins de cinq athlètes, la probabilité des médailles elle-même est déjà faible ! Petit conseil vicieux aux rares athlètes africains qui continuent de mettre leurs talents à l’épreuve d’un environnement dirimant, changez de nationalité! On mettra une autre discipline au programme, défilés en vestes et délégations pléthoriques. Bye.
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Francis Ngannou évoque sa fin de carrière…

Dans une interview, le champion de MMA a laissé entendre quand il prendra sa retraite pour passer à autre chose.

A 37 ans, Francis Ngannou continue de faire parler de lui dans le monde des sports de combat. Entre la boxe anglaise et le MMA, le Camerounais ne baisse jamais les bras. Il se prépare actuellement à un combat MMA contre Renan Ferreira en octobre prochain.

Dans un échange avec Joe Regan, chroniqueur sportif américain spécialisé dans les sports de combat, The Predator en a profité pour évoquer la fin de sa carrière. « Je veux me retirer de ce sport avant que le sport ne se retire de moi. Je pense à 41 ans. D’ici là. Peut-être qu’à 40 ans, j’aurai l’impression d’être encore dans le coup. Si, à 41 ans, j’ai l’impression d’avoir fait le tour de la question, j’avancerai pas à pas. Ce que je ne veux vraiment pas faire, c’est me réveiller et aller à la salle de sport comme si j’y étais obligée. Si je sens que je peux me le permettre ou si je suis excité, oh c’est un jour d’entraînement, j’irai, que je batte quelqu’un ou qu’il me batte. Quoi qu’il en soit, je suis excité ! Si c’est toujours le cas, je continue. Dès que je ne l’aurai plus, même si je n’ai pas encore 40 ans, je le prendrai comme un signe », explique le natif de Batié, dans la région de l’Ouest-Cameroun.

Quant à son prochain combat, il devrait l’opposer à Renan Ferreira en octobre, le Camerounais ayant mis toutes les chances de son côté. Renan Ferreira, 35 ans, de nationalité brésilienne, évolue dans la division des poids lourds de la Professional Fighters League et a remporté le championnat des poids lourds de la PFL en 2023.…

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Joël Embiid:« je me considère comme un Camerounais. Ce sera toujours mon pays »

Le basketteur dans une interview accordée au New York Times a expliqué son choix de jouer pour les États Unis bien qu’il reste attaché au Cameroun

Joël Embiid explique qu’il se sent Camerounais, se voit comme étant un et cela ne va jamais changer pour lui. « Je me considère comme un Camerounais. Ce sera toujours mon pays. J’y suis née, et d’après ce que j’ai vu en grandissant – la lutte – je m’y identifierai toujours. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai fini par réussir : à cause de la façon dont j’ai été élevée, de l’environnement dans lequel j’ai grandi. » Le joueur de Philadelphie en NBA répondait ainsi lors d’un entretien avec David Marcesse, journalist au quotidien américain, New York Times.

Bien qu’il se considère camerounais, le basketteur de 30 ans va participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024 sous le maillot des États Unis. Un choix qu’il a fait avec beaucoup de difficultés car il est d’origine camerounaise mais possède à côté de la nationalité américaine la nationalité française aussi. Son choix explique t’il était d’abord le Cameroun :
« une chose que j’ai toujours su, c’est que le Cameroun est le premier choix, et s’il se qualifie pour les Jeux Olympiques, je jouerai pour mon pays d’origine. »

Le pays n’a malheureusement pas pu se qualifier échouant au dernier carré du tournoi pré olympique. Le France dont il a obtenu la nationalité en Juillet 2022 s’annonçait aussi comme un choix pour Joël Embiid. Mais il explique avoir subi la pression de ce côté où on lui donnait un délai alors qu’aux États Unis, il lui avait été dit de prendre tout son temps et peu importe sa réponse, elle sera compris. «Je me suis senti un peu bousculé dans ma décision », révèle-t-il. « Je voulais prendre le plus de temps possible, et le fait que la France ait voulu décider de la date de la décision n’a pas aidé.» Dans tout ce tumulte, même sa discussion avec le président français, Emmanuel Marcon n’a pas facilité les choses. «Je lui ai dit que la relation entre la France et le Cameroun, et les pays d’Afrique en général, me préoccupait beaucoup, se souvient-il. Même aujourd’hui, il se passe beaucoup de choses là-bas. Il y a beaucoup de résistance sur place, ça va jusqu’à la volonté d’expulser les Français, parce qu’il y a eu tant d’années d’oppression. Ma famille vit toujours au Cameroun et je ne veux pas leur faire subir tout cela. Je veux qu’ils soient en sécurité, et les relations entre la France et le Cameroun ou l’Afrique en général ne sont pas bonnes.»

Aujourd’hui,  le pivot de Philadelphie élu meilleur joueur de NBA en 2023  va prendre part aux J.O aux côtés de Stephen Curry, Anthony Davis. Une posture qui ne le dérange pas. Car, c’est près d’une décennie qu’il vit au US et y a sa famille et une longue histoire.

Joël Embiid né le 16 mars 1994 à Yaoundé commencé à jouer au basket-ball à l’âge de 15ans. Il arrive aux US un an et joue son premier match sur un parquet américain à l’âge de 16ans…

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Jeux Olympiques 2024: le Cameroun dans les starting block avec 06 représentants

La délégation camerounaise aux Jeux olympiques de Paris a reçu le 9 juillet le drapeau national des mains du ministre des sports au Comité national olympique et sportif du Cameroun.

Jeux olympiques 2024 : le Cameroun enregistre l’un de ses plus faibles quotas de participation.

Si le Cameroun a longtemps été considéré comme une grande nation sportive, c’est loin d’être le cas aujourd’hui. Si le niveau sportif n’a pas baissé, ce n’est pas le cas dans d’autres nations du continent. Et le processus de qualification pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 vient encore de le mettre en évidence.

Le pays de Françoise Mbango (Championne olympique en 2004 et 2008) ne sera représenté que par 06 athlètes. Ils concourront en athlétisme ( Emmanuel Eseme Alobwede et  Linda Angoumou ) , judo ( Soppi Anita Mbella) , tennis de table ( Sara Nana Hanffou)  et natation ( Mabe Nguelo et Sergio Guiché). Le basket-ball était le seul sport dans lequel il y avait encore des espoirs. Mais les Lions n’ont pas réussi à se qualifier pour le tournoi préolympique qui s’est achevé le week-end dernier.  Ils ont été tenus en échec (72-59) en demi-finale du tournoi par la Lettonie.

La dernière fois que le Cameroun a eu un quota aussi bas, c’était à Mexico en 1968. C’était la deuxième participation du pays aux Jeux et il était représenté par 05 athlètes dans trois disciplines.

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 débutent le 26 juillet et se terminent le 11 août de cette année. Les épreuves sportives ne débuteront cependant pas le samedi 27 juillet, mais dans certains cas le mercredi 24 juillet, avec notamment un certain nombre de matchs de football, de handball et de rugby à 7. Benjamin Navet, spécialiste des Jeux olympiques, nous en parle, « C’est le mercredi 24 juillet, à 15h00, que seront donnés les premiers coups d’envoi, avec en même temps deux matchs de football, un au Parc des Princes, à Paris, et l’autre au Stade Geoffrey Guichard de Saint-Etienne. Ce n’est pas spécifique aux Jeux de Paris mais bien récurrent à chaque olympiade, les seize jours de compétitions officiels des JO ne suffisent pas pour enchainer toute la compétition de football, qui nécessite pour chaque équipe deux jours de repos entre chaque match. Douze autres matchs de football se dérouleront les mercredi 24 et jeudi 25 juillet à travers la France, dont ceux des Equipes de France féminine et masculine. »

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Argentine vs Colombie : choisissez votre favori pour la finale

Qui va gagner la Copa América ? La réponse à cette question sera connue dans la nuit du 14 au 15 juillet. Nous sommes certains que notre aperçu vous aidera à faire les bons pronostics sur le choc décisif entre l’Argentine et la Colombie. N’oubliez pas le jeu responsable et placez vos paris en cliquant sur le lien !

 

La dernière danse de la vieille garde

Les champions du monde en titre sont à deux doigts de défendre leur titre en Copa América. Les Argentins peuvent remporter le tournoi pour la 16ᵉ fois et devenir les seuls détenteurs du record – ils partagent actuellement le leadership avec l’Uruguay.

Il peut sembler que le tableau de la Copa América avait été conçu pour que l’Albiceleste atteigne la finale sans souci. Et c’est ce qui s’est passé : en 5 matches, l’Argentine n’a encaissé qu’un seul but et a décroché 4 victoires, dont 2 contre le Canada, y compris en demi-finale. À noter la performance individuelle de Lautaro Martínez, qui mène avec panache la course au titre de meilleur buteur avec 4 réalisations (soit 50 % des buts de l’équipe) et qui n’a été titularisé que deux fois.

Cependant, le chemin de l’Argentine n’a pas été aussi facile qu’il n’y paraît à première vue. En quart de finale, l’Albiceleste a lâché la victoire à la dernière minute contre l’Équateur et, en étant sous le choc émotionnel, aurait même pu manquer le coup de pied décisif. Les miches de l’Argentine ont été sauvées par Emiliano Martínez, qui a remporté la sixième des six séances de tirs au but de sa carrière.

En 4 matches, Lionel Messi a inscrit 1 but, a fait 1 offrande décisive, a manqué 1 match pour cause de blessure et a raté sa tentative aux tirs au but contre l’Équateur. Leo a confirmé qu’il s’agissait de sa dernière Copa América. Pour Ángel Di María, qui n’a délivré qu’une seule passe décisive en 4 matches, ce tournoi sera aussi son chant du cygne en sélection.

Les leaders vieillissants de l’équipe nationale argentine sont-ils suffisamment motivés et forts pour remporter un nouveau trophée pour leur pays ?

Entre inconnus

Les Colombiens, qui disputeront la finale de la Copa América pour la troisième fois de leur histoire et pour la première fois depuis les médailles d’or gagnées en 2001, ne manquent pas de motivation.

« Je n’ai jamais vécu cela auparavant. J’ai un entourage proche qui m’a dit que cela pouvait arriver. Voyons voir, ça va être vraiment génial », s’est confié Néstor Lorenzo, le sélectionneur argentin de la Colombie, qui retrouvera son pays en finale.

Précédemment, l’homme de 58 ans n’avait dirigé que le FBC Melgar péruvien, mais au cours des sept années en tant qu’assistant de la sélection colombienne, il avait appris à connaître les capacités des joueurs et savait ce dont ils avaient besoin après avoir échoué à se qualifier pour la Coupe du monde 2022. Les résultats ont dépassé toutes les attentes : les Cafeteros n’ont pas perdu 28 matches consécutifs depuis le 22 février 2022, date de leur défaite contre l’Argentine. Et ce, avant même l’arrivée de l’actuel sélectionneur.

Le public s’est rappelé une fois de plus le génie de James Rodríguez. S’il y a 10 ans, lors de la Coupe du monde au Brésil, il a marqué 6 buts et est devenu le meilleur buteur du tournoi, aujourd’hui, il dirige brillamment le jeu de son équipe. Lors de la Copa América, James a délivré 6 passes décisives, auxquelles il a ajouté un penalty réalisé en quart de finale contre le Panama.

Les milieux de terrain Jefferson Lerma et Richard Ríos (l’une des éclosions du tournoi) ont non seulement libéré Rodriguez du travail sale, mais ont également inscrit 3 buts à deux. Luis Díaz fait des ravages sur son aile et a fait trembler les filets des buts adverses à deux reprises. Enfin, les Colombiens n’ont concédé que 2 buts, ce qui témoigne de l’impressionnante fiabilité derrière.

Cependant, l’équipe nationale colombienne n’a pas fait son chemin sans pertes. Le défenseur Jhon Lukumí s’est blessé et l’arrière droit Daniel Muñoz manquera la finale en raison d’une suspension ridicule lors de la demi-finale contre l’Uruguay. Les Colombiens n’ont pas de remplaçant à la hauteur de Muñoz, qui a marqué 2 buts et délivré 1 passe décisive lors du tournoi.

Néstor Lorenzo parviendra-t-il à battre son pays en finale de la Copa América ?

Les face-à-face

Lors de la Copa América, les Colombiens ne connaissent pas de revers contre l’Argentine dans le temps réglementaire depuis quatre confrontations consécutives, mais ils se sont inclinés aux tirs au but en 2015 et en 2021.

Cotes : V1 – 2.264, X – 3.065, V2 – 3.955

Qui va gagner la Copa América ? La finale du grand tournoi est une excellente raison de commencer le grand jeu avec les cotes de 1xBet les plus élevées ! Inscrivez-vous sur le site du meilleur bookmaker d’Afrique, bénéficiez du bonus 200 % jusqu’à 130 000 XAF en utilisant le code promo CAMFOOT24, n’oubliez pas le jeu responsable et placez des paris gagnants sur le choc épique entre l’Argentine et la Colombie !…

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Jean Bruno Tagne: « Eto’o porte une grave souillure qui le disqualifie »

Le verdict de la CAF contre Samuel Eto’o est désormais connu du grand public. Bien que plusieurs des soutiens de Samuel Eto’o se réjouissent du maintien de son poste à la tête de la FECAFOOT, Jean Bruno Tagne tire une sonnette d’alarme. Le dossier de Samuel Eto’o est désormais sale, et c’est une grosse enclave à ses ambitions professionnelles prochaines ! 

« Pour qui sonne le glas. Samuel Eto’o a donc échappé au bannissement de toute activité liée au football qui lui pendait au nez depuis presqu’un an devant le jury disciplinaire de la CAF.
Il s’en tire tout de même (en attendant un appel éventuel) avec une condamnation pour « violation grave des principes d’éthique, d’intégrité et de sportivité » et doit payer pour cela une amende de 200 000 dollars.
Au risque de décevoir ses soutiens fanatisés, il n’y a pas de quoi pavoiser. Au contraire; ils devraient, à l’image de leur champion qui semble avoir compris l’infamie de l’affaire, se faire discrets. Car, être reconnu coupable d’une faute morale, éthique est la pire chose qui puisse arriver à un dirigeant, surtout quand celui-ci nourrit des ambitions…
Il porte désormais sur lui une grave souillure qui le disqualifie de manière très sérieuse. Oû trouvera-t-il encore la force de faire ses saillies verbales sur la morale devant des dirigeants sportifs jamais condamnés alors que lui traîne une condamnation pour une grave faute « d’éthique, d’intégrité et de sportivité »?
Sans le dire, le jury disciplinaire de la CAF – avec une certaine pudeur due au rang du prévenu – a sorti la légende du football Samuel Eto’o du jeu. Qu’il en prenne acte. Ce serait salutaire pour la morale publique.« .
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Procès CAF: Samuel Eto’o reste président de la FECAFOOT

Le président de la Fédération camerounaise de football a été reconnu coupable de violation des principes éthiques. Il est condamné à payé une lourde amende financière. 

Samuel Eto’o reste président de la Fédération camerounaise de football. Mais il devra payer la somme de 200 000 dollars, soit environ 121 millions de francs CFA. C’est ce qui ressort du verdict rendu par la Confédération Africaine de Football dans l’affaire qui l’opposait à la Fédération Camerounaise de Football. Il a été reconnu coupable d’avoir violé l’article 2 alinéa 3 des statuts de la CAF en enfreignant les principes d’éthique, d’intégrité et de sportivité. En effet, il avait signé un contrat faisant de lui l’ambassadeur d’une société de paris sportifs. Le communiqué de presse publié par la CAF indique que « la signature de ce contrat par M. Samuel Eto’o ils, sous le couvert de la Fécafoot et moyennant rémunération, constitue une violation grave des principes d’éthique…« . Elle précise que l’amende doit être payée en dollars dans un délai de soixante jours à compter de la notification de la décision. Ils disposent toutefois d’un délai de trois jours pour faire appel de la décision.

Quant aux autres allégations, notamment celle de trucage de matches dont lui et Valentin Nkwaim, président de Victoria Unites, sont accusés, le Panel disciplinaire de la CAF a expliqué que les preuves n’avaient pas été établies et a « accepté les objections d’incompétence et d’irrecevabilité des moyens de preuve produits (enregistrements audio et vidéo, transcriptions audio, courriels), les rejetant comme mal fondées ».

Samuel Eto’o et Valentin Nkwaim sont donc acquittés. L’ancien international peut donc préparer sereinement sa candidature à la réélection l’année prochaine.…

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Françoise Mbango critique l’organisation du championnat africain d’athlétisme

La légende de l’athlétisme camerounais s’est exprimé hier au micro de RFI. Elle a pointé un doigt accusateur sur les organisateurs des jeux africains d’athlétisme.

Les Championnats d’Afrique d’athlétisme, se sont déroulés du 21 au 26 juin à Douala au stade de Japoma. Un championnat truffé d’irrégularité qui ont découragés de nombreux athlètes africains qui ont abandonné la compétition en plein milieu. Sur la toile, les échos qui remontaient le plus étaient honteux pour le 237.

Et Françoise Mbango, double médaillée d’or olympique du triple saut, dans une interview accordée à RFI, a encore appuyé un peu plus ce côté sombre du championnat africain. Elle dénonce et critique l’organisation:

« C’est vraiment dommage que quand on parle d’athlétisme au Cameroun ce soit aussi négatif. Personnellement ça ne me surprend pas, tout simplement parce que les organisateurs ont du mal à accepter qu’ils n’ont pas toujours la compétence pour faire ce genre d’organisation. Je ne pense pas que ce championnat a été organisé avec le souhait de mal faire, mais le fait que ça n’a pas été bien fait prouve qu’il n’y a justement pas assez de compétences sur l’organisation tout simplement. Le Cameroun a le matériel pour organiser mais il manque la compétence et l’expertise, les ressources humaines pour bien planifier et organiser cela. » a-t-elle déclaré.

Elle est aussi revenu sur la situation du sport au Cameroun et exprime sa tristesse de voir la guerre entre le Ministère des Sports et la FECACOOT, alors que les deux entités ont tout ce qu’il faut pour mettre le football au firmament au Cameroun. La championne olympique a relevé que c’est encore plus grave pour l’athlétisme, car elle en tant que championne est mise de côté et n’est pas consultée sur les questions d’athlétisme.

« Je regarde tout cela à distance parce que je n’interviens dans aucun événement sportif au Cameroun. Je me concentre juste sur l’Institut des Sports et de l’éducation physique Françoise Mbango que j’ai ouvert à Yaoundé. J’ai un peu mal au coeur de voir que les acteurs du sport qui ont travaillé sur le terrain et qui ont apporté quelque chose d’exceptionnel (je parle de ma personne), ne puissent intégrer, participer ou contribuer au développement du sport au Cameroun. Vous avez une double championne olympique qui ne fait rien, qui ne sert à rien mais vous voulez des résultats au niveau international. Et il n’y a pas que moi, il y a pleins de sportifs qui peuvent contribuer au développement du sport au Cameroun. » a-t-elle ajouté.

Une nouvelle sortie qui enflamme la toile et met en exergue les multiples difficultés du domaine sportif au Cameroun et des fédérations. Mal aimée au Cameroun, Françoise Mbango brille pourtant encore à l’extérieure; Elle sera consultante pour les jeux olympiques de Paris 2024 pour la chaîne de radio RFI.…

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