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L’artiste Richard Bona fait un grand retour sur les actualités du Cameroun. Depuis la découverte macabre du corps mutilé de l’animateur Martinez Zogo, le chanteur rappelle les « grandes enquêtes inachevées » du pays.

Le Cameroun vit finalement de nombreux drames au fil des mois. Le constat est vite fait lorsqu’on voit le petit bilan publié par le célèbre bassiste Richard Bona. Le ghanéen a ressorti des publications datant de juin 2020 où on peut bien constaté qu’il y a un grand nombre de « grandes enquêtes inachevées »: « Pour classer un dossier on ouvre une enquête. On ouvre toujours, on ne ferme jamais. Eseka, Vanessa Tchatchou, Monique Koumatekel, Monseigneur bah là suis dans l’eau, observateurs transparency international, Can sucée (jamais ouverte), incendie sonara » a-t-il cité. Il a d’ailleurs ajouté le cas des milliards de francs dédiés à la lutte contre le Covid-19 qui ont été détournés.

Chacun de ces événements a en effet défrayé la chronique au 237 et choqué l’opinion publique. Et cette fois, l’enquête instruite par le gouvernement pour mettre la lumière sur le décès brutal de l’animateur Martinez Zogo est selon Bona une autre enquête ajoutée à cette longue liste et elle n’aboutira à rien: « Allez, c’est fini! RAS, c’est classé, next! » a-t-il commenté sur cette nouvelle affaire.…

Richard Bona s’est encore exprimé sur l’art camerounais. Cette fois, c’est sur le concert de Lady Ponce qu’il lâche son freestyle, expliquant que dans sa carrière il ne compte pas le nombre d’Olympia qu’il a eu à faire.

Le ninja a encore frappé mes people. Sur la toile ce weekend, les internautes ont décidé de la narguer, en disant qu’ils étaient à un bon spectacle à l’Olympia. Le concert de Lady Ponce dans cette mythique salle en France à fait carton plein. Mais rien n’ébranle la confiance de Bona et il l’a laissé savoir à travers son commentaire.

« Les bekukulan de Yaoundé, même lorsque je poste simplement à propos de mon Show d’hier soir, il faut qu’ils viennent me rabâcher qu’ils étaient à l’OlympiaBeh bravo I am happy for you et je vous ai félicité Ce que vous ne ferez jamais à mon propos… Sauf mon 1er Olympia date de 2005, 17 ans avant…Complet Mon 2 eme olympia en 2006, 16 ans avant…Complet Les Olympia j’en fais partout dans le globe Et vous parlez d’1 concert(one). Combien de concerts j’en fais par semaine??? Just a question » a-t-il écrit. Bona n’a pas trouvé intelligent que le public se vante tant de l’Olympia de Lady Ponce quand lui en a déjà fait bon nombre, sans compter le nombre de concerts qu’il fait à travers le monde depuis tant d’années.

« Et je vais vous faire une confidence: You don’t make money playing at the Olympia… C’est prestigieux mais très coûteux. Be humble… Love and Respect » a-t-il ajouté. Il leur demande ainsi d’être plus humble, car sa carrière est bien plus pleine que celle de Lady Ponce.

Lors de la célèbre émission radio de Claudy Siar, Richard Bona a donné les noms d’artistes camerounais qu’il aime bien et il a tout d’abord cité Maahlox le Vibeur.

Richard Bona fait toujours parler de lui au Cameroun mes peoples. D’une manière ou d’une autre, le ninja a un petit mot pour le 237 partout où il passe, en bien comme en mal: il est au taquet. C’est cet exemple qu’il a encore fait ressortir alors qu’il était sur le plateau de l’émission radio « Couleurs Tropicales ». En pleine interview avec Claudy Siar, Richard Bona expliquait qu’il a la flexibilité de travailler avec tous types d’autres artistes, et qu’il est un électron libre. « Moi je suis indépendant, tout peut arriver alors ça sort comme ça sort« . Après cette déclaration, le Ghanéen va dans un éclat de rire.

Eh oui, la célèbre phrase « ça sort comme ça sort » est reconnue comme une création de Maahlox le vibeur. C’est devenu un leitmotiv au 237 pour dire « peu importe les risques, on fonce d’abord ».

Claudy Siar a profité de cette occasion pour demandé à Richard Bona ce qu’il pense de Maahlox. « Oui j’aime bien ce qu’il fait! I like it » a déclaré Bona. Cette partie de la vidéo a été partagée sur la page du rappeur, reconnaissant pour cette dédicace à son endroit.…

Deux légendes de la musique africaine dans une chanson. Richard Bona et Oumou Sangaré nous offre le titre « Duuru Wakani » qui rend hommage au continent africain.

Le titre « Duuru Wakani » surprend les mélomanes. Le titre sorti ce 27 mai est un savant mélange orchestré par Richard Bona et Oumou Sangaré. « La vidéo officielle de Duuru Wakani s’inspire des racines africaines auxquelles les deux artistes sont si liés et rend hommage à la mère patrie. Vous pouvez également entendre des saveurs des Caraîbes et beaucoup de Duuru Wakani Spirit. Plongez dans un monde imaginaire de danse, de vibrations Afrobeat et de groove de bien-être » peut-on lire sur la chaine Youtube du Ghanéen.

Un rythme dansant, beaucoup de couleurs, des fruits exotiques, des cocktails, le décor du clip et sa musicalité donnent de la bonne humeur. Le style représente bien l’Afrique entre hospitalité et chaleur. A déguster avec le sourire mes people.

Richard Bona a encore frappé. A travers un commentaire sur la toile, il a répondu à une internaute qui lui rappelait à quel point ses chansons étaient utilisées au moment des repas.

Si tu es déjà allé à une grande fête au Cameroun, tu sais que le moment du repas correspond au moment où le DJ lance tous les makossa. La musique calme et douce est idéale et 100% camer. Que faut-il de plus? Et le public a déjà retenu cette habitude. Une internaute a donc décidé de rappeler cela à l’artiste Richard Bona. Plusieurs de ses titres de makossa sont souvent jouer lors des repas. « Ninja tu as une chanson là qu’on met au moment de manger dans les réceptions. J’aime la chanson là jusqu’ààà » a-t-elle écrit.

L’artiste avec son côté décalé légendaire n’a pas manqué de répondre et une fois de plus de faire un clin d’oeil au gouvernement camerounais: « Si cela peut vous aider à digérer cette eau colorée du robinet… moi quoi? » a-t-il lancé. La vanne a frappé fort sur la toile, bien que plusieurs n’ont pas apprécié cette réplique du ninja.…

Richard Bona a suivi avec beaucoup d’attention le match Cameroun – Algérie de ce 29 mars. L’artiste avait alors parié 1.000 Euros pour la défaite des Lions Indomptables et il a perdu son pari.

Richard Bona s’attendait à une grosse défaite des Lions Indomptables. Alors que le Cameroun rencontrait l’Algérie hier pour un match de qualification pour le mondial 2022, rien ne laissait voir que le Cameroun serait qualifié. C’est à deux minutes de la fin de la rencontre que Karl Toko Ekambi met le but de la victoire qui va délivrer le 237.

Une victoire massivement célébré dans les artères des villes camerounaises et en symbiose sur la toile. Alors que tout le monde jubile, Richard Bona révèle avoir parié sur la défaite des Lions Indomptables: « Ehhh bien maintenant,Je prends mon PARACETAMOL… Les fennecs n’ont pas suivi la consigne finale. Chanceux va!!! Bravo à vous. Franck t’es le seul qui a osé parier 1000 Euros avec moi… Bravo bro à toi aussi…2 paris perdus sur 39 au total… » a-t-il écrit via sa page Facebook.

Le ninja n’a pas cru au Cameroun, peut-être à cause du match aller qui n’a pas été favorable à cette équipe. Il a alors qualifié les Lions de chanceux. Mais au final, il a perdu la somme de 1.000 Euros et prend son paracétamol dans la paix. …

L’artiste Richard Bona a déchiré son passeport camerounais dans un live Facebook. Ceci après avoir raconté un terrible évènement qu’il a vécu et qui a failli l’envoyer en prison à l’étranger.

Célèbre bassiste mondialement connu, Richard Bona est habitué a beaucoup voyager. Il est constamment entre deux avions pour honorer ses dates de concert. Et c’est grâce à son travail qu’il a découvert le poignard que les autorités camerounaises ont mis dans son dos. Le passeport que Richard Bona a montré dans un live Facebook ce 17 mars lui appartient mais il était déjà plein. Toutes les pages avaient un visa d’un pays précis où il a séjourné pour le travail. Naturellement pour le travail il doit refaire un autre passeport et pour cela, il dépose son ancien passeport à l’ambassade.

A l’ambassade de Washington, l’artiste déposait donc son passeport déjà plein pour en obtenir un neuf. Et c’est ça qui lui cause un problème. L’ambassade prenait le vieux passeport et l’utilisait pour d’autres personnes que Bona. En effet, si l’artiste faisait des concerts dans le monde entier, le passeport contenait des visas allant souvent jusqu’à trois mois, alors que la star n’était même plus sur le territoire, le visa restait valide longtemps. Il suffisait alors pour eux de changer la photo du passeport et de faire voyager une personne lambda avec les visas toujours valides.

Mais un grave problème surgit alors que le bassiste est à la frontière hongroise: « Je me suis fait arrêté alors que j’étais à la frontière hongroise. Je trouve mon ancien passeport là-bas et on veut m’arrêter pourtant ce n’était pas ma photo. C’est la femme du ministre de la culture hongroise qui m’a aidé vu qu’on se connait, et j’ai pu être mis hors de cause. » -a-t-il déclaré dans son live. A la frontière hongroise il retrouve son ancien passeport avec une photo différente de la sienne et comprend ce qui se passe dans son dos. « Le feyman a donc voyagé pour faire ses mauvais coups avec mon nom, mon passeport, mes visas mais sa photo. Il a eu des problèmes en Hongrie et la police l’a suivi, il a laissé sa voiture de location garée quelque part en fuyant et a laissé mon passeport dedans. Vous voyez les camerounais, vous pouvez être un voyageur et vous retrouvez dans un grave problème, en prison à cause de leurs magouilles ». a-t-il ajouté.

L’avocat de Bona contacte alors l’ambassadeur de Washington; ce dernier sort de ses gongs et leur dit: « c’est faux! vous voulez salir le nom du Cameroun, je vais vous porter plainte ». L’avocat dit alors à son client: « Tes propres autorités te mettent en danger. C’est une question de temps pour qu’ils finissent par vraiment te faire vivre quelque chose de mauvais » confie le musicien. Et c’est un signal parmi tant d’autres, qui lui fera donc changer de nationalité pour se protéger à l’avenir. …

Clash de stars mes people. Davido a dit une phrase sur le Cameroun qui a dérangé plusieurs personnes et c’est Richard Bona qui a foncé pour le remettre à sa place.

Tous les internautes savent que Richard Bona est présent dans les débats sur le Cameroun. Bien qu’il ai changé de nationalité, le virtuose ne manque pas une occasion pour dire ses vérités sur le 237. Et cette fois, c’est Davido qui a croisé Bona sur son passage. Avec la récente CAN qui s’est déroulé au Cameroun, l’artiste Davido a lâché via Twitter: « Le seul talent au Cameroun c’est le football ». Les internautes se sont versés sur lui. Mais ce n’était rien comparé à ce que Richard Bona a lâché, l’artiste a du répondant.

Dans un commentaire, le talentueux bassiste écrit: « Qu’il prenne un micro et chante en Acapella, et on pourra l’évaluer… Pour le reste, c’est merci autotune. Don’t even try bro« . Un message clair du désormais Ghanéen. Selon lui, Davido est pro de l’autotune, ce logiciel qui permet aux chanteurs de corriger leur tonalité et de pouvoir chanter juste, comme ils veulent. Plusieurs artistes en Afrique utilisent l’autotune, ce qui leur ramène beaucoup de critiques car ça ne fait pas d’eux de très bons chanteurs en live. Bona a donc tenu a rappeler à Davido qu’il utilise surement cette application et donc ne devrait pas lui même se considérer comme un super chanteur. Vos avis? …

Petite guerre entre Steve Fah et Richard Bona depuis quelques jours sur la toile. Chacun revendique la paternité de l’expression « Can sucrée ». Mais ce matin, un message de Steve Fah a réveillé la colère des internautes.

Qui a finalement créé l’expression « Can sucrée »? D’un côté Steve Fah réclame la paternité de cette expression. Il l’a grandement utilisé dans les différents spots Et de l’autre côté, Richard Bona qui se moque de lui, rassurant le public qu’il a parlé de « can sucrée » bien avant Steve Fah: « Juste après mon concert à Las Palmas le 15 octobre 2021. J’ai parlé de « CAN sucrée ». 02 mois plus tard, un zombie roublard est subitement créateur » avait-il écrit sur Facebook.

Steve Fah n’a pas voulu baissé la garde et en remet une couche ce matin à travers un post: « le véritable roublard c’est qui? Je dis et je répète « can sucrée » c’est Steve Fah. Montrez moi une seule capture où ce roublard parle de can sucrée! Le gars vient en 2021 montrer les CANNES A SUCRE que j’avais déjà montré en 2019 pour faire le lien avec la CAN. Petit tricheur. ». Un message qui va mettre le public en colère.

A travers les commentaires, les internautes ont lavé Steve Fah. Lui demandant de baisser d’un ton face au magistral Richard Bona. « Ce pays c’est vraiment pour les tintins. Voilà un individu qui traite le grand Bona on dirait son égal », « Je ne sais pas si tu peux balayer la cour de Richard Bona. Mais Facebook mélange vraiment tout le monde », « Tu ne vaut pas la cheville de Richard Bona, pauvre malheureux », C’est ton égal? pour que tu l’appelles petit tricheur. S’il se trompe vraiment tu le lui dis au lieu de l’insulter, alors même que tu ne peux pas porter son sac ». « Tu as besoin de la paternité de cette histoire de Can sucrée pour vivre alors que Bona n’a pas du tout besoin. Cependant il faut bien que tu saches rester à ta place car Richard Bona et toi n’évoluez pas dans la même dimension. A force de vouloir être partout et de fouiner tu multiplies tes chances de mal finir » peut-on lire dans les commentaires.

C’est chaud sur la page de Fah. Le gars a reçu une flopée de rappel à l’ordre. Bien que les sorties de Richard Bona ont le don de créer des polémiques, les camerounais cette fois reconnaissent sa valeur et son talent qui le hissent à un stade supérieur. …