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Le taux de réussite au Baccalauréat de l’enseignement secondaire général livré vendredi dernier n’a pas plu aux parents d’élèves.

On est parti de 75,73% en 2023 pour arriver à 37,26% en 2024. Un écart que les parents d’élèves n’arrivent pas à digérer. Les accusations vont bon train. Si chez les séries scientifiques on a mieux fait, les séries littéraires  ont exceptionnellement décu, en moyenne 6 % sur l’étendu du territoire, plusieurs établissements secondaires ont affiché néant.

A l’heure du bilan, les parents se sont souvenus que les jeunes ont passé l’année sur les réseaux sociaux. On est parti de « zouk miel », aux différents challenges, sur tiktok, facebook et autres.

« Djadjaridja », « Ribarité », « Lil Ngono »….D’autres encore sont allés plus loin, « tout au long de l’année on a écrit ton nom tous les week-ends sur les plages de kribi, mais ton nom est invisible au Babillard ». Mieux encore, les activités très sexuelles sont pointées du doigt et même le « kior » n’y échappe pas.

37,26%, taux de réussite au Baccalauréat en 2024 sous le prétexte qu’on a retenu les admis à 10/20. C’est où le problème exactement?…

La fille du président de la République a répondu à une interview du journal français Le Parisien. Elle déclare que ses contenus sur les réseaux sociaux, où elle a fait son « coming-out », visent a dépénaliser l’homosexualité au Cameroun. Malgré les critiques et les craintes qu’elle a pour sa vie, elle espère que sa haute position peut faire changer les choses… 

BRENDA BIYA triture ses doigts. L’idée de s’exprimer la rend « anxieuse ». Dimanche 30 juin, la jeune femme de 27 ans a posté sur son compte Instagram (@kingnastyy) une photo d’elle en train d’embrasser sa copine, Layyons, mannequin brésilien de 25 ans. La légende en anglais entérine le coming out : « PS : Je suis folle de toi et je veux que le monde le sache. » Or, Brenda est la fille du président camerounais Paul Biya, 91 ans, le plus vieux dirigeant élu en exercice au monde. Dans le pays qu’il dirige depuis 1982, comme dans vingt-six autres nations d’Afrique, l’homosexualité est illégale, passible de cinq ans de prison. Une vingtaine de per- sonnes sont actuellement incarcérées au Cameroun pour avoir eu des relations avec une personne du même sexe. Brenda Biya est consciente du « message fort » que représente sa prise de parole. Elle a accepté de se confier, chez elle à Genève (Suisse), sur les rives cossues du lac Léman.

Comment allez-vous depuis votre publication sur Instagram ?

BRENDA BIYA. Je me sens mieux. Je suis soulagée. J’ai reçu beaucoup de soutien de la part d’organisations camerounaises et occidentales. Des gens m’ont souhaité du courage. Mais j’ai aussi reçu des réactions négatives, homophobes. Il y en a eu de très violentes, que je suis encore en train de digérer. Je me dis que ça va passer, comme tout.

Pourquoi acceptez-vous de parler aujourd’hui ?

C’était important d’expliquer pourquoi j’ai publié cette photo. Certains disent que j’ai fait ça pour le buzz mais c’est bien plus que ça. Il y a plein de gens dans la même situation que moi, qui souffrent à cause de ce qu’ils sont. Si je peux leur donner de l’espoir, les aider à se sentir moins seuls, si je peux envoyer de l’amour, j’en suis ravie. Parler, c’est l’opportunité d’envoyer un message encore plus fort.

Vous êtes la fille du président du Cameroun. Qu’est-ce que cela implique ? C’est beaucoup de pression. Parce que les gens ont beaucoup d’attente envers vous. J’ai toujours pensé que je n’étais pas vraiment faite pour ce rôle. Je le vois un peu comme une cage dorée. Je suis un peu le mouton noir de ma famille Quand j’ai quitté le Cameroun au collège pour la Suisse, ça m’a un peu libérée.

Vous avez grandi dans un pays où l’homosexualité est illégale. Comment avez-vous appréhendé votre sexualité ?

J’ai eu mon premier crush pour une fille quand j’avais 16 ans mais j’ai eu du mal à l’accepter. J’étais dans le déni. Je connais les traditions de mon pays, et pour moi c’était inenvisageable. À l’époque, j’étais persuadée que même si un jour j’arrivais à avoir une relation avec une femme, cela resterait quelque chose de privé. J’ai cru que j’allais devoir le cacher toute ma vie à ma famille et au monde. Je n’avais pas l’impression d’être complètement moi. Puis j’ai eu ma première relation avec une femme en première année d’université et j’ai commencé à m’affirmer un peu plus. Je l’ai dit à mes amis camerounais. Ça les a étonnés mais ils m’ont acceptée telle que j’étais. Ça a été un soulagement pour moi.

Pourquoi avez-vous officialisé votre relation sur les réseaux sociaux ?

Je n’en ai parlé à personne, pas même à ma copine. J’ai surpris tout le monde. Ça fait huit mois qu’on est ensemble. Je l’ai déjà amenée trois fois au Cameroun mais sans jamais vraiment dire qui elle était pour moi. J’avais aussi posté des photos avec elle sur mes réseaux et il y avait des spéculations. Mais ce n’était pas clair. Je pensais l’annoncer depuis un moment. Maintenant, je me sens libre.

Quelle a été la réaction de votre famille ?

Ils n’étaient pas au courant. Mon frère m’a appelée le premier. Il était en colère, surtout à cause de la manière dont je l’avais fait, parce que je l’avais annoncé sur les réseaux avant de lui en parler. Je le comprends, mais je lui ai expliqué que si j’étais venue vers eux, ils auraient ignoré la conversation, tourné autour du pot.

Et votre père ?

Ensuite, ce sont mes parents qui m’ont appelée. Ils voulaient que je supprime la publication. Mais pour moi, c’était comme faire un pas en arrière et j’avais déjà sauté le pas. Ce n’était pas qu’un post : cela signifiait s’accepter soi-même. Depuis, c’est silence radio.

Aimeriez-vous que la loi qui punit les homosexuels au Cameroun change ? Cette loi existait avant que mon père soit au pouvoir. Je la trouve injuste et j’ai l’espoir que mon histoire la fasse changer. Les mentalités sont en train d’évoluer au Cameroun, notamment chez la jeune génération. Cela prendra certainement du temps mais je pense que les choses peuvent bouger. C’est peut-être trop tôt pour qu’elle disparaisse complètement mais elle pourrait être moins stricte. On pourrait d’abord supprimer la peine de prison.

Comment envisagez-vous l’avenir ?

C’est encore très flou. Je peux perdre beaucoup : froisser les liens avec ma famille, ne plus avoir le droit d’aller dans mon pays, être mise en prison… Mon souhait le plus cher serait d’avoir une conversation directe et ouverte avec mes parents où on mettrait tout à plat. J’ai l’espoir que ça arrive mais d’abord, je les laisse digérer. Moi aussi d’ailleurs, je suis toujours en train de digérer ma propre situation…

Source: Le Parisien…

L’enfant du président de la République a montré sa « petite amie » au monde entier. Ayant déjà expliqué qu’elle n’a pas de problème avec l’homosexualité, cette fois elle dévoile sa partenaire.

C’est avec une autre femme que Brenda Biya a décidé de s’afficher. Leur photo se donnant un baiser à déjà fait le tour du monde sur Internet. Brenda en a profité pour dire a tous que: « mouillé c’est mouillé ». Comme quoi, elle ne trouve pas l’intérêt de cacher cette information et qu’on n’a qu’à en faire et penser ce qu’on veut, mais c’est elle même comme ça, elle aime les femmes.

Sa petite amie est une top-modèle brésilienne connu dans la mode en Europe. Elle a aussi plusieurs photos d’elle et Brenda sur ses réseaux sociaux.

Le public est toujours autant scandalisé par les sorties de Brenda qui semble ne pas prendre en compte sa position de fille du Président de la République et donc de son image. De plus, l’homosexualité est toujours interdite au Cameroun selon l’article 347 – 1: « Est punie d’un emprisonnement de 06 mois à 05 ans et d’une amende de 20.000 à 200.000 FCFA, toute personne qui a des rapports avec une personne de même sexe« . Brenda Biya sera-t-elle donc emprisonnée si elle revient au Cameroun?

Toute fois, de nombreux analystes sur la toile mettent cette publication sous le coup de la défiance au pouvoir en place. Au regard des multiples vidéos diffusées par Brenda depuis environ 02 ans sur la toile, on sait qu’elle et sa famille n’ont pas une relation au beau fixe. Elle fait donc maintenant tout pour mettre en avant leur désaccord et les défier.…

C’est sur la route nationale N*4 que l’ex Lion Indomptable vient de rendre l’âme. La nouvelle fait actuellement le tour des réseaux sociaux.

Landry Joel Tsafack Nguemo s’en va fauché par un accident de la route à juste 38 ans. Selon les multiples informations, le drame s’est déroulé sur la route entre Yaoundé et Bafoussam, plus précisément à Obala ce 27 juin 2024. Un gros porteur a littéralement piétiné le véhicule dans lequel se trouvait le footballeur et son conducteur.

Le milieu défensif a joué avec les couleurs du drapeau national entre 2006 et 2014. International Camerounais, il a été finaliste de la CAN 2008 et avec Nancy en France, il a gagné la coupe de la ligue en 2006.

Il a été le joueur que tous les entraîneurs voulaient avoir dans leur équipe. Infatigable milieu de terrain, il a porté 150 fois le maillot de l’ASNL- AS Nancy Lorraine où il a débuté sa carrière. Il s’est ensuite dirigé en Écosse mais également au FC Girondins de Bordeaux. Le 25 janvier 2017, il signe un contrat jusqu’en juin 2019 avec le club turc de Kayserispor, mais en décembre 2017, Joël Tsafack résilie son contrat. Il s’engage ensuite en Norvège, où il passe une saison avant de se retrouver libre de tout contrat. Quelques mois plus tard, il annonce officiellement sa retraite, après 15 saisons passées en professionnel.

L’ex joueur camerounais n’a pas oublié d’où il vient! Après avoir lancé la boulangerie la paix, il a construit l’immeuble « CAN HOUSE by Celine Nguemo », des appartements meublés dans la ville de Dschang et qui portent le nom de sa défunte mère. Il laisse derrière lui une femme et trois jeunes enfants. RIP à ce fils du pays……

Les dispositions spéciales prises pour la célébration de l’union du chanteur et de la mère de ses jumeaux sont incroyables. Voici quelques pépites.

Ce sont d’abord les photos du shooting pré-mariage du couple Davido – Chioma qui ont commencé à circuler sur la toile. En mode riche couple vibe, le mythique couple nigérian a réveillé les fans, qui n’attendaient que ce moment entre eux. Après toutes les péripéties qu’ils ont déjà vécu, il était vraiment temps qu’ils se marient. Et l’événement à lieu en ce jour, mardi 25 juin 2024.

Juste avant de dire oui, Davido a tenu à faire un cadeau spécial à sa compagne, en lui offrant une bague sertie de diamant. Il explique que ce bijou vaut au moins le prix de trois Rolls Royces, donc plus d’un milliards de FCFA. Incroyable! Mais ce n’est pas tout. Pour leur grand jour, les invités choisis avec minutie pour les accompagner repartiront avec de gros cadeaux.

Selon les informations, le couple a décidé d’offrir un téléphone portable à chaque invité. Il s’agit d’un Samsung Galaxy S Fold dont le prix est estimé à 1700 dollars, soit plus d’un million de FCFA. Des sources indiquent que Davido et Chioma ont pris cette initiative pour permettre aux invités de prendre de belles photos durant la cérémonie de mariage. Parmi les invités, on note l’invitation du chanteur américain Chris Brown.

Le mariage qui a lieu en ce moment promet de dévoiler encore de belles surprises et images au monde entier.…

Le chéri du biscuit de mer s’est exprimé via son compte snapchat cette nuit. Il est au moins clair avec tout le monde sur le fait qu’il a eu des aventures.

Malgré leur 04 ans de mariage, Francis Mvemba et Coco Emilia n’ont pas longtemps vécu ensemble. Et cette distance physique a conduit Francis a avoir des aventures avec plusieurs femmes. Il n’a pas caché cela alors qu’il semble de se réconcilier avec sa femme maintenant. Des vidéos du couple entrelacé, au Famous, ont circulé sur la toile.

Après cette réconciliation face au public, Mvemba balise le terrain et fait ses aveux. Il ne cache pas avoir eu à être infidèles durant cette période de turbulences dans son couple et est prêt à assumer pour éviter le chantage de ses ex-copines: « Votre attention SVP! Toutes les femmes avec qui j’étais depuis ma séparation avec Emilia, pouvez-vous allez lui parler afin de lui raconter nos relations? Comme-ça le chantage de diffuser nos messages ou vidéos cessent. Elle va se fâcher après elle va pardonner. Maintenant, pour celles qui sont trop fâchées ou trop je ne sais pas quoi, veuillez me trouvez en face physiquement. Emilia vous gère sur les réseaux moi physiquement » a-t-il écrit.

Sa réconciliation avec sa femme semble ne pas avoir enchanté tous le monde, entre les ex en colère et ceux peut être qu’il ne connait même pas mais qui sont trop vex, il a donné la dose de chacun.…

Par mesure de sécurité, Libianca a décidé de suspendre la suite de sa tournée mondiale. Des ambazoniens sont au cœur des menaces de mort qu’elle a reçu.

Libianca a commencé une tournée à travers le monde il y a plusieurs semaines. Amérique, Australie, elle est à fond et se donne totalement lors de ses prestations. Sa récente date de concert en Australie a été particulière. La chanteuse qui fait le tour du monde n’a jamais caché son amour pour son pays le Cameroun. Partout où elle va elle se revendique du 237 alors qu’elle aurait pu signer sous une autre nationalité.

Elle a sorti un drapeau camerounais sur scène et chantait tout son amour pour son pays. Ce qui semble ne pas du tout plaire à plusieurs. C’est ainsi que l’auteure du titre « people » a reçu des menaces de mort après ce geste par des ambaboys. Selon eux, lever ainsi le drapeau est un soutien au gouvernement en place.

La situation est devenue si inquiétante vu les menaces contre sa vie, que la chanteuse a décidé de suspendre sa tournée pour le moment.  « Salut les gars, je vais reporter ma tournée en raison des menaces de mort que j’ai reçues. Je refuse d’annuler juste besoin de temps pour prendre les précautions nécessaires. Je vous aime ! » a-t-elle expliqué en larmes dans une vidéo. Evénement qui choque complètement ses fans qui ne voient pas vraiment le rapport entre être fière de ses origines et soutenir le gouvernement. Sa tournée, les investissements, les personnes recrutées et tout cela tombe à l’eau maintenant. Triste!…

Ces deux actrices camerounaises ont témoigné ces derniers jours, avoir été victimes de lynchage et de complot par des bandes organisées sur Internet. 

Tout a débuté avec Flavienne Tchatat samedi dernier. Elle recevait dans son inbox, le témoignage d’une femme qui a avoué avoir été membre d’un groupe pour comploter contre elle. L’objectif du groupe composé uniquement de femmes, était de créer des faux comptes sur Facebook, destinés à balancer des fake news, des injures et à signaler les comptes de Flavienne. Elle passe aux aveux, fatiguée d’avoir fait partie de cette mascarade, et aussi après avoir constaté que Flavienne était une bonne personne contrairement à ce que la commanditaire du groupe disait.

Et c’est ainsi que quelques jours plus tard, c’est au tour de Rachel Nkontieu de dénoncer. Cette fois, elle pointe un doigt accusateur sur certaines femmes, ses collègues, qui ont décidé de détruire ses différentes pages sur la toile: « Il y’a quelque collègues ( femmes ) avec d’autres qui payent des personnes pour qu’ils aillent créer des GROUPES whatsapp dans lesquels chaque chef du groupe incite ses abonnés à venir sur la toile créer à leur tour plusieurs faux comptes pour ternir l’image des autres sur les pages gossip , signaler leur comptes – pages – postes et même jusqu’à venir sur les pages personnels de leurs soient disant cibles pour retourner les abonnées contre les personnalités qu’ils (abonnés) ont choisis délibérément de suivre. Oui vous êtes allés jusqu’à payer certaines bloguer pour qu’ils ne fassent pas la propagande des autres et qu’ils ne font que pour VOUS et rien que pour VOUS » a-t-elle écrit.

La guerre entre les différents acteurs du showbizz semble être finalement très forte, même si le public ne comprend pas toujours ce qui se passe hors caméras. Et toutes ces révélations expliquent au final pourquoi les commentaires de haine pullulent sur la toile.…

C’est ce qui est ressorti d’une violente dispute entre Laure et Gérémi, où elle lui a jeté cela à la figure.

A une époque, ils étaient le couple xxl du kmer. Le footballeur Gérémi Njitap et Laure Fotso, fille du défunt milliardaire Fotso Victor, se sont mariés il y a 12 ans. Il y avait de quoi rendre jaloux plus d’un. Mais le bonheur entre les deux n’est plus qu’un lointain souvenir. L’ancien joueur du Real Madrid vient de demander le divorce à sa femme. Les raisons évoquées pour le divorce sont des différences irréconciliables, des années de séparation et un prétendu refus d’intimité de la part de sa femme. Lors d’une violente dispute, l’épouse aurait affirmé que les enfants n’étaient pas les siens. Par la suite, un test ADN a révélé qu’aucun des trois enfants n’était biologiquement celui de Njitap, bien qu’il se soit occupé d’eux et les a éduqués comme ses propres enfants.

Selon plusieurs confrères, les enfants pourraient en fait être ceux de l’ex-mari de Laure. Bien qu’ils ressemblent à Njitap, des questions subsistent quant à l’authenticité des résultats de l’ADN et à la possibilité d’une manipulation émotionnelle.…

Mani Bella est en guerre contre les Miss depuis hier 22 février 2024. Selon elle, il n’y a aucune obligation a soutenir une miss dans une compétition même internationale. Elle ne voit d’ailleurs pas à quoi sert une miss dans le développement du pays. Des propos très choquants en ce moment où Julia Samantha se bat en Inde pour Miss Monde 2024. Lisez. 

Chères miss, VENEZ ICI ! Vous servez même à quoi au Cameroun???? Votre rôle c’est lequel au juste ????

Répondez !!!!!!!

Il y’a même d’abord combien de miss chaque année au CAMEROUN ?????

C’est moi qui vois souvent mal ou bien?????? Dans d’autres pays c’est pas la miss en fonction qui part aussi à miss monde ????

Je ne comprends plus hein ?!?!?!?!!

Quand il faut dénoncer vous vous cachez derrière les artistes. Ngueuu c’est seulement les artistes qui doivent parler des dénonciations !